Nous continuons d'écrire, de tout planifier
Dans ce monde qui ne cesse de changer
Nous savons tous les deux ce qu'il faut le faire
Mais aucun de nous deux se bouge pour le faire
Maintenant que le temps a passé
Et il nous laisse que des regrets

Tu le sais, tu as toujours été toute ma vie
Mes pensées tournoient maintenant que tu es partie
Nous nous sommes quittés, nous avons laissé
Les souvenirs et les bons moments dans le passé
Avancer parce que notre temps est écoulé
Une nouvelle fois l'amour est gâché

Pour moi tu étais mon compagnon d'âme
Une amie avec qui je partageais bonheurs et larmes
Je souhaitais que les aiguilles de l'horloge
Seraient immobile mais le monde ne pouvait attendre
Revenons, à l'époque où nous vivions dans l'insouciance
Quand rien d'autre que notre amour avait de l'importance

Andy

 Photo perso de Morganne

Kerkya capitale de l'île de CORFOU

Les bleus

Ne pensons plus aux bleus de l'âme,

Faisons de ces moments un bonheur parfait.

Un peu de cyan, je te regarde et je désarme.

Un mélange de couleurs douce, mais pas d'abstrait.

Ne pensons plus aux bleus qui couvrent les douleurs            

Ils sont au loin dans nos pensées si vives et amoureuses

Légère comme la plume colorée au mélange des couleurs

Seul un azur au ciel de nos jours, peut voiler les idées hideuses

Tes yeux ne sont pas lapis lazulli mais je les adore,

 Etoilés ils pétillent comme sous la voûte céleste.

Le calme de la mer est revenu, au soleil on se dore,

Eole et Râ nous regardent heureux comme des altesses

Tes yeux ne sont qu’émeraudes, brillant de mille feux

Je m’y reflète lorsque je te regarde, l’amour en témoin

Douceur et sensualité naissante au gré de ce jeu

Amour toujours, amour fuyante, amour de près comme de loin

Ami-amour allongeons nous sur la plage et regardons le camaieu,

Ces ombres, Ces lignes au loin, le ciel, tout n'est que turquoise dégradé.

L'or des rochers se reflètent dans l'eau tel une grosse pépite, ah mes aieux !

Tout n'est que beauté, relaxons nous aimons nous la vie nous a gâtée.

Amour-ami, regarder le ciel nous couvrir ainsi de son bleu

Bleu comme l’eau des mers chaudes et profondes

Si profond que l’on s’y noie du plaisir que seuls captent nos yeux

Nulle doute que rien ni personne ne viendra y faire une fronde

Duo  Jean-frédéric/morganne

Mon âme porte en elle, arborés fièrement,

Les vestiges de ton empreinte indélébile,

Ainsi qu'un médaillon de défaite stérile

D'une couleur d'azur non ternie par les ans.

D'aucun ne l'aura vu trainer parmi les ruines

D'un passé trépassé, qui fut nôtre pourtant,

Ainsi qu'un translucide ectoplasme insouciant

Sous le spectre bleuté de nos nuits assassines.

De son auréole céruléenne ceinte,

Tout comme estampillée du tatoue de la mer,

Ma mémoire meurtrie à ton songe éphémère

Agonise dans de sempiternelles plaintes.

Du bonheur échoué, les stigmates cruels

Resteront à jamais l'insigne témoignage,

Jusqu'à ce qu'un miracle évince ces nuages…

Et si nos bleus au cœur déteignaient sur le Ciel...!

L.

Ceci n'est pas un fragment de mémoire
De ce qui était ma vie passée
Ce n'est pas non plus la mélancolie
Qui me pousse à vous raconter mon histoire

Voyez-vous, j'aime une femme, elle est si belle
Ses yeux sont si bleus qu'ils reflètent le ciel
Sur chaque chose où elle pose son regard
Tel que la mer, la lune ou même mon coeur

C'est comme une lumière qui traverse un saphir
D'un bleu non transparent, plutôt translucide
Que son âme rayonne à travers son être
Bien que son âme ne peut être vue

Et elle porte sur elle une robe bleue
Que ses yeux la font paraître encore plus bleue
Et les courbes de son corps lui donnent gracieusement vie
Pour chaque pas et chaque geste qu'elle fait

Vous savez, je l'aime, je l'adore
Et je crois que même si je ne l'aimais pas
J'aimerais la beauté de son regard bleu
Qui a rallumé le feu dans mon âme




Andy

La vie est bleue

Bleu azur d’un horizon désertique,

Ou d’une mer  tumultueuse sous  les tropiques.

Mer parfois turquoise parfois barbeau,

Parfois pétrole quand meurent les bateaux.

Bleu nuit quand sonnent les douze coups de minuit,

Quand les arbres noirs sur un fond de ciel,

Font peur aux enfants qui crient dans la nuit,

Dans un silence de glace presque mortel.

Bleu de l’arc-en-ciel, bonheur de la pluie,

Qui fait rêver d’un trésor à son pied enfui.

Bleu des yeux enfumés de rêveries,

Rouleau à la main qui brise ta vie.

Bleu goutte à goutte qui coule dans tes veines

Réalité rouge, bleue pour les reines,

Bleu que tu coupes, sans cesse en pleurant,

Regrettant la paix bleue et sereine d’antan.

20/01/2014   #Lulu