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Par psyche-d-ames le 2 Novembre 2013 à 19:36
MAITRE
A l’image des rayons du soleil levant
Qui parviennent à crever les nuages,
Bravant ainsi de leur éclat si puissant
La noirceur apparaissant comme un clivage,
L’Homme se doit de lutter pour son avenir :
Aux affres d’écueils et d’obstacles soumis,
Beaucoup laissent leurs âmes défaillir,
Abandonnant aux abysses leur essence de vie.
Pourtant, nos déboires ont un impact si formateur
Qu’en ne gardant en mémoire que celui-ci,
On parvient à acquérir la force du puissant moteur
Qui garanti nos destins des faiblesses ressenties.
Enfant comme adulte, chacun porte son fardeau
Mais seule la positive aura de l’optimisme absolu
Préserve l’âme du trouble qui l’enserre tel un garrot
Et porte en nos cœurs le bonheur qui nous est dévolu.
A chaque déception, une aube nouvelle en nos heures,
Comme un autre départ ou d’un phoenix la renaissance
Car chaque fois s’élève à nouveau en nos cœurs…
L’espoir… seul maitre de notre avenir et de nos espérances.
sylvain
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Par psyche-d-ames le 1 Novembre 2013 à 21:21
Caché dans l'obscurité,
Un homme se laisse sombrer ;
Laissant ces désirs et ces craintes, le hanter
Une bouteille tentant de lui faire oublier,
La dure réalité de la vie.
N'ayant plus la force de remonter
La décision lui vint vite
Il décida de passer de l'autre coté
Il partit sur les falaises d'un village côtier
Se jeta dans le vide
Savourant ce dernier plaisir
Son corps percuta la surface de l'eau
Dure comme de la roche
Les membres brisés,il se laissa couler.
Ce n'est que deux mois plus tard, qu'on le revit
La mer relâcha un corps ,décharner et sans vie
Nous sommes les fourmis qu'un enfant s'amuse à écraser ,
Nous ne pouvons rien y faire,
Nous ne sommes qu'éphémère.
Nous laissant un goût amer.
Phonic
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Par psyche-d-ames le 1 Novembre 2013 à 21:18
J'aurais voulu, j'aurais voulu...
N'était-ce pas trop demandé,
Qu'elle revienne une heure après
En me disant: "je n'ai pas pu...".
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Par psyche-d-ames le 1 Novembre 2013 à 21:13
Sur la voie de la décadence
Ce soir ton moral est au plus bas,
tout se bouscule dans ton esprit, tu es perdu...
Le coeur lourd, tu baisses les bras,
de toute cette décadence, tu n'en peux plus.
Ton existence est un chantier perpétuel,
comparable à une construction inachevée...
Toujours les mêmes erreurs, toujours les mêmes rituels,
qui t'enfoncent d'avantage et contribuent à te rabaisser.
Regarde toi aujourd'hui,
ta vie ne ressemble en rien à ce que tu avais imaginé...
Tu ne sais comment y remédier, mettre un terme à ce fouillis,
mais il n'est peut être pas encore trop tard tu sais.
Tu dis que le désespoir est une boisson au goût amère,
que rien ne t'effraies plus que les incertitudes de demain...
La vie est trop précieuse pour être gâchée, trop éphémère,
alors lève toi et reprend le cours des choses en main !
Tu as certainement fait de mauvais choix dans le passé,
tu t'es probablement engagé sur la mauvaise route...
Mais regarde devant toi, le ciel t'offre la possibilité de tout recommencer,
cette chance ne se présente qu'une fois, ne te laisse pas envahir par le doute.
Cesse de broyer du noir, il faut que tu sois fort,
aie confiance en demain, accroche toi à tes rêves...
Je te fais la promesse que la vie n'est pas si sombre au dehors
et qu'un jour ou l'autre les cauchemars s'achèvent.
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Par psyche-d-ames le 1 Novembre 2013 à 21:11
Toi, regarde ta tête, tu es hilare,
Tu t'es vu quand t'as bu, espèce de soifard.
Crois tu que la vie vaut la peine d'être ainsi vécue ?
Vois tu la peine que tu fais à force de boire ça te donne la berlue.
Vis dans ton monde, avec cette boisson amère,
Qui pour toi, donne un bonheur plus qu'éphémère,
Vois les larmes dans les yeux des gens qui t'aiment,
Coule l'eau, roule sur les joues, trinquer avec tes amis, tu ris mais tu es blême.
Demain comme chaque jour, tu vivras ta vie, qui n'est pour d'autre qu'une misère,
Pire est le mal que tu fais : tu ne le vois pas ou cela t'indiffère.
Copains de boisson, un petit verre, deux c'est rien ça.
Mais la destruction de ta personne tu ne te doutes pas.
Malheur à celui qui t'emboitera le pas,
Bonheur à celui qui t'ouvrira les yeux en même temps que les bras.
Réagit tant qu'il est encore temps,
La vie n'est pas très longue ne fait pas de mal, ne passe pas en coup de vent.
La Boisson conduit en prison,
Ton coeur s'enferme dans une gangue sans fond.
Le distance avec les êtres aimés se creusent,
Achètes des lunettes si tu ne vois pas que tu la rends malheureuse.
Morganne
(pas pour moi je ne bois que de l'eau oh oh)
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