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N° 185 : "Passé ce seuil, l'espoir..."
Nouveau challenge pour les deux prochaines semaines; autrement dit, nouveau challenge le dimanche 21 juillet au plus tard !? :)
l'espoir
Le thème plus précis : "Passé ce seuil, l'espoir...".
C'est le temps des vacances, il nous fallait un challenge un peu plus gai et frais, le voici.
Bonne plume à toutes et à tous,
alain/spock27 + ill. du net
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Par psyche-d-ames le 1 Mars 2014 à 09:20
Tu es mon monde, l'abri qui me protège de la pluie
Tu es le remède qui efface tous mes douleurs
Tu es la lumière qui m'aide à retrouver mon chemin
Tu es les mots quand la parole me manque
Dans ce monde où rien n'est ce qu'il semble être
Je suis là et tu es mon point de repère
Tu es la flamme qui me réchauffe quand j'ai froid
Tu es la main que je dois tenir en vieillissant
Tu es les étoiles quand je suis perdu à la mer
Tu es la seule chose que j'aime à propos de moi
Dans ce monde où rien ne dure
Je continue à être attaché à toi
Combien de temps cela a duré
Depuis que notre histoire commence ?
Et j'espère qu'elle n'aura jamais de fin
Qu'elle continuera pour toujours
Andy
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Par psyche-d-ames le 1 Mars 2014 à 09:06
Devrais-je encore longtemps cheminer sans but
Vers mes idéaux de rêves en volutes
Dans le tumulte de la vie, l’esprit interrogatif
Le souffle court, les yeux rougis, le regard réceptif...
J’ai jeté sur le sol mes certitudes
Perchées sur des sommets d’altitude
D’une terre transpercée de cris
Quand gronde la révolte, je languis..
De voir naitre un jour nouveau effacé le noir
S’ouvrir sur une lumière enrubannée d’espoir.
Quand nous cesserons de n’être que des voyeurs
Riches alors de sentiments prometteurs
Je regarderai apaisée le genre humain
Évoluer avec sagesse vers demain.
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Par psyche-d-ames le 1 Mars 2014 à 08:50
Si je t’ai perdue de vue, oh mille regrets,
Je nage encore dans les mille autres plaisirs
Que tu dévoilais, oh l’amoureuse onde.
Amorcillant l’accès à ta pomme ronde,
Je ne pouvais que mordiller encore et encore
Ces joues rouges et rougies par nos chaleurs
Tantôt consumées si viles et si vivement,
Et tantôt si tendrement que le ciel avait le temps
Et pour lui et sur nous de se poser.
Tu es le guerdon de ma brève existence,
Le doux chatouillement sous la brise
Des plus douces liesses; mignardant certes
Les délices vrais et souhaités car...
Je ne te crois pas ma belle,
Ton sourire coquin te trahit.
Je passerai encore ton seuil,
Que l’aventure est belle, taquin est le tout
Ainsi baignés du cupide soleil.
Alain, 10 juillet 2013 - ill. du net
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Par psyche-d-ames le 1 Mars 2014 à 08:48
Une île déserte,
Pas de bateaux pour en partir,
Seul le plaisir de la découverte,
Mais long le temps qui guide l'avenir.
Un naufrage, pourquoi pas ?
Retrouvée à deux sur une plage,
Autour de nous des débris ça et là,
Les cocotiers plient la tête pour nous donner courage.
Prenons courage, relevons la tête,
Longeons le rivage, mais qu'il est long ce n'est pas la fête.
Robinson et Vendredi l'on vécu cet épisode,
Et au delà des années ont gardé l'espoir, à la vie une Ode.
Resterons-nous longtemps ici,
Parmi les feuillus et les ouistitis,
Rien d'original, la mer, le soleil, une ile, le ciel bleu.
Il en faudrait peu pour que l'on soit heureux...
Contournons l'île, ne ménageons pas nos efforts,
Tu me soutiens, moralement et physiquement l'homme est le plus fort.
Mais soudain s'ouvrent devant nos yeux ébahis;
Un club de vacances, des gens heureux, le paradis...
Morganne
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Par psyche-d-ames le 1 Mars 2014 à 08:45
Un quai de gare, une foule qui s'amasse,
Le train arrive à toute allure, mais passe.
J'ai encore pour réfléchir l'arrêt prochain,
Prendre le rail, où ne pas te rejoindre demain.
A l’autre bout du quai, de cette sombre gare
Sera-t-elle là où j’aimerais tant la voir
Ce train qui arrive, qui file pour ne pas s’arrêter
Sans doute le suivant, le regard posé sur l’horizon bleuté
Je suis montée au hasard sans trop savoir,
Vers quelle destination, mais un espoir, le voir.
Le train va à toute allure, le film s'accélère, sera-t-il en gare?
Les monts les vaux, défilent sous mes yeux hagards.
Ai-je bien fait d’avoir prit ce billet vers sa destination ?
Cet espoir naissant me fait oublier cette question
Sera-t-elle là au bout de ce si long voyage ?
Dans ce wagon, j’y ai assis mon amoureux bagage
Le haut parleur serine cette information, Terminus, gare de Lyon ,
Je descends sur le quai, regarde autour de moi, verrais je le petit pavillon ?
Celui qui devait nous faire nous voir, nous reconnaître de loin dans la foule,
Personne, mes yeux deviennent "Lac", des gouttelettes perlent, mon cœur
Train arrêté, je descends et ce haut parleur qui hurle sa litanie
Je le sais que je suis arrivé à Paris
Mon regard va et vient.. Personne à l’arrivée
Quel est donc cet autre que moi qui semble me regarder ?
Mais mon regard rencontre celui d'un homme aussi perdu que moi,
J'en suis presque heureuse de le voir ainsi, seul dans mon désarroi.
Il s'avance doucement, comme aimantés, nos yeux ne se quittent pas,
Quel fait étrange, mes larmes ne coulent plus, on dirait que je le connais déjà.
Ses yeux, son visage, tout n’est que lumière qui d’un coup éclaire mes pensées
Qui est-elle ? Je m’avance, elle fait un pas, j’accélère, je ne peux freiner.
Elle est là, seul le souffle léger de l’air peut s’immiscer entre nous
Nos lèvres esquissent un sourire. Serait-ce l’amour fou ?
4 mains jfred et morganne
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