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N° 181 : A chaque jour son envie
Bonjour à toutes et à tous,
Voici ma proposition de challenge; le 181ème challenge sera donc...
A chaque jour son envie.
Certains diront, il y a des jours où on a pas envie, d'autres, la journée n'est pas assez longues pour que je puisse combler toutes mes envies, d'autres encore... je n'ai moi, jamais envie et d'après ce que j'ai compris, pour les Bouddhistes, le summum est de réfréner ses envies, voire de ne pas en avoir du tout.
Mais bon, une envie par jour et à chaque jour son envie, c'est comme au glacier, quand on ne choisit qu'un parfum à chaque visite, ce n'est plus de la gourmandise, c'est du bon sens, lol
A vos plumes, chers membres et que la plus grande des motivations vous gagne.
Je mettrai bien une illustration si ce challenge daigne s'afficher, lol
Alain/spock27
voici un des tableaux que j'obtiens quand je tape "envie" sur google et puis "images". oui, j'en ai déjà proposé de bien semblables, lol. c'est google hein !, pas moi :)
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Par psyche-d-ames le 28 Février 2014 à 11:09
Derrière les portes de l’ennui
Il y a d’éternelles nuits.
Parfois avoir envie d’amnésie
Quand tant de douleurs et de solitude
Deviennent presque une habitude.
Pourquoi tant d’espérances en souffrance!
À humer les senteurs de l’été
La magie sort de l’obscurité..
Découvrir avec curiosité les trésors
D’une nature qui n’est pas un simple décor,
Entendre le vent, la terre, la vie qui résonne
Et de toutes ces beautés, frissonne.
Écouter perdu dans les cieux, le silence
Avec la sensation de mille présences.
On a tous quelque part dans les yeux
Une part de rêve des étoiles
Qui nous font miroiter d’autres mieux,
Une certaine forme d’idéal.
Avoir envie de vivre au jour le jour
Profiter de ce que la vie offre
Un aller sans retour,
Enfermer tout le mauvais au coffre.
Être soi-même, faire le vide simplement
Se retrouver, vivre sereinement.
Du silence à l’oubli il n’y a qu’un seul pas,
Se fondre dans la nuit comme on passe à trépas
S’effacer de l’ennui, balayer les gravas
D’une vie qui s’enfuit avec perte et fracas.
merci pour votre patience, d'une mamin à la traîne. et pas très heureuse du résultat, "bof"
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Par psyche-d-ames le 28 Février 2014 à 10:46
Lundi primesautier nous amène une révolte en nos cœurs
Ces moments qui doucement apportent leur candeur
Regards fuyants vers un horizon où se dessine une ligne bleue
Un jour nouveau s’est levé, un désir naissant, un désir plein de feu
Mardi ensoleillé, sur le fil on va étendre les draps,
Senteur de frais, senteur de roses, lève les bras.
Ce soir à la nuit tombée, doucement nous allons nous glisser,
Dans ce lit au parfum de fleurs ensorcelées, envie d'un baiser.
Ne serait ce pas le mercredi qui nous entraine vers l’amour posé ?
Jour où de légères brises nous frôlent de leurs ailes déployées
Troisième jour où l’immensité de ton regard en mon être amoureux
Fait de moi, celui qui laissera tous ses états capricieux.
Un souffle de vent pousse jeudi à l'école de nos quinze ans
Redevenons enfants, pour découvrir l'amour secret adolescent.
Rouge aux joues, avançons doucement au jardin des délices,
Envie l'un de l'autre, nos lèvres se joignent impunément pas de vice.
C’est au vendredi que nos années s’envolent définitivement
Sorti du jardin pour s’arrêter au pas de porte du firmament
Le sourire aux lèvres et le souffle court d’avoir porté notre désir
L’envie d’évasion à perpétuité, sur des monts et merveilles à franchir
Fièvre du samedi soir, les étoiles scintillent dans le ciel,
Sur fond de pourpre il a plongé au divin couché du soleil
N'attendons pas dimanche pour avoir envie de liberté
Partons pour les îles, aimons nous sur une plage sous les cocotiers.
Il paraît que le dimanche est le jour où l’on ne fait rien
Pourtant l’amour ne s’arrête pas en si bon chemin
L’envol vers la destination où le cœur bat plus vite
Nous apportera sérénité, quiétude, tout en une belle invite.
Poème écrit avec envie par jfred et Morganne
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Par psyche-d-ames le 28 Février 2014 à 10:44
Beauté du tout, il ne nous en revient que partie ;
Comme la nature qui s'égare, jamais en nous ne se retient ;
Celle de qui et en quoi nous cheminions,
L'imaginaire en braises, celle qui de saison perdue
Nous attirait dans les futaies, laissant voir le moindre,
Et nous de deviner les côtes, les flans et les falaises.
N'ayant aucun de nos humaines affections,
Elle s'embrase comme Elle défait ses chaînes
Et s'amuse des nôtres, à chacune de ses prisons.
Mais le jour s'en vient, qu'à son corps, qu'à son cœur
Nous ne serons plus liés, d'Elle comme... fatigués.
Tel un souvenir dont toute la portée est saisie,
Elle dépérira, de son aura auréolée de vapeurs ;
De nos attentes, aucun frémissement,
Plus que vaines attentes.
Nous vîmes là que les envies forment nos appétences,
Sans elles toutes les couleurs ne sont plus délivrances.
Qu'à ne plus jouir ni d'amertume, ni de ses plaisirs,
Ne reste que la roche du terne quotidien, l'humus affadi.
Alors verte Amante, reviens-nous en belles syllabes ;
Car oui sur tes paupières, j’écris encore quelques épitres
Pour tes yeux tendres, tes joues d'une belle ardeur.
Alain, 2 juin 2013
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Par psyche-d-ames le 28 Février 2014 à 10:42
Au sommet du mont Olympe, j'ai grimpé,
Je me suis revue à l'époque que je préfère l'antiquité.
Sur les traces des Dieux je reste plantée,
Déesse aux pieds d'argile, je veux prier.
Prêchant la bonne parole, au monde,
Zeus en premier m'a dit que le monde deviendrait immonde.
Je l'avoue il ne s'était pas trompé,
Mythologie appliquée, envie de voir le monde redressé.
Sur le mont des Oliviers Jésus s'arrêta pour contempler
Ce monde heureux et malheureux à la fois, il se mit à prier.
Après avoir vu quatre de ses disciples lui demander quand il serait roi,
Répondit que des guerres, des épidémies passerait il fallait avoir la foi.
Jésus de Jérusalem, la déesse aux pieds d'argile, Zeus de l'olympe,
Prévoyaient déjà les cataclysmes les folies des êtres non humbles,
Le ciel ferait de son mieux pour les aider,
Afin d'éviter ce qui arrive maintenant et dans encore bien des années.
Mon envie, mon bien-être serait que les gens de bonne volonté
Implorant le ciel ou tout autre moyen ou de facilité,
Redonne une vie meilleure, enlève les tricheurs,
Les voleurs et que nous vivions dans une grande prairie de fleurs.
Triste réalité, on est allé trop loin
Le monde part en décrépitude, avec le soin
des hommes politiques de tout rang et de tout bord,
Je ne vous envie pas messieurs..
Nous vous subissons.
Morganne...
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