-
N° 177 : Voyager par un baiser
Mona m'avait donné un challenge mais comme ma messagerie a eu un gros problème tout s'est effacé, alors avant qu'elle ne me redonne le sien pour la semaine prochain, je vais vous en pondre un..
J'ai cherché une citation et j'ai trouvé celle là qui peut passer, c'est un peu théâtral mais c'est de l'Alfred de Musset donc c'est normal
« Partons, dans un baiser, pour un monde inconnu. »
de Alfred de Musset
Vous pouvez faire un poème sur partir, sur baiser, sur monde inconnu, cela peut être une éventualité... je mets quand même le challenge en place parce je suis la seule a avoir écrit pour le challenge... même pas Alain, dire que cela va mal...
-
Par psyche-d-ames le 28 Février 2014 à 08:52
Un amour aveugle m'a chassé du paradis
Notre passion s'épuise, tu t'enfuis
Il y a trop de mensonges à s'en défaire
Mais nous continuons d'avancer sans rien faire
Nous sommes à court d'alibis
Tu loues ton corps pour du plaisir
Ça me rappelle qu'il faut en finir
Quitter cette voie que nous avons choisie
Je sais que je suis égoïste, je suis mauvais
J'ai toujours trouvé quelqu'un à meurtrir, à blesser
Aucune circonstance ne pourrait excuser
Mon corps est brisé, le tien est courbé
Avant de partir, donne-moi un dernier baiser
andy
votre commentaire -
Par psyche-d-ames le 28 Février 2014 à 08:50
Si je te disais que plus jamais,
Nos deux êtres se reverraient ?
M’offrirais-tu un baiser,
Premier et tristement dernier ?...
Aurais-tu le courage d’affronter,
Que le monde nous sépare ?
Qu’on ne peut s’aimer
Et qu’il est trop tard ?
Oserais-tu me dire,
Dans le plus long des silences,
Que tu m’aimes à en mourir,
Pour maintenir l’espérance ?
Pourrais-tu m’enlever,
De la cruelle réalité,
En m’offrant un baiser ?
Et te laisser transporter..
Dans un monde d’amour,
De calme et de douceur,
Où passent nuits et jours,
Sans tristesse ni peur.
#Lulu
votre commentaire -
Par psyche-d-ames le 27 Février 2014 à 14:59
J’ai grande envie d’étreindre
Une personne entière
Qui se soumet à d’autres vers
Dont je ne suis pas l’auteur
Et dont je maudis l’origine.
Nous devions partir, toi,
Comme sainte en mon pouvoir,
Un baiser comme un nœud
Sur toi apposé, d’amour bien noué.
Mais de vous servir,
Je me sentis adonné.
Que dieu me pardonne,
J’ai conçu ce présent
Comme un trésor,
Et comme un abandon
Sur vos lèvres,
Vous l’avez conçu.
Alain, 28 avril 2013 _
Certes, ce voyage n'est pas des plus gais :-/
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique