• N° 167 : Le train de l'amitié

    N° 167 : Le train de l'amitié

     

    Je vais faire un essai

     

    vous connaissez le poème à la suite, ce n'est pas le mot mais je ne m'en rappelle plus..

    Je mets 4 vers, le suivant met 4 vers et on continue avec un autre,

    le serpent à sonnette est très bien parti, Merci je suis contente

     

    Même Saskia, Même Clara peuvent essayer d'accrocher le wagon..

     

     

    Quelques pousses vertes apparaissent,

    Le printemps pointe-t-il son nez ?

    Ce n'est qu'un prémice la femme de pierre, s'apaise,

     Les oiseaux s'en servent de perchoir, épaule accueillante pour se restaurer..

    (Morganne)

     

    Les terrasses se remplissent

    Chacun y retrouve sa chacune

    Les instants rudes s’évanouissent

    Et laissent place à la douceur sans rancune

    (Mamin)

     

    On oublie les frimas et même les vents de doute,

    Les passants semblent sans visage

    Et pourtant..., l'air est suave, parfumé d'un peu d'encens;

    On est bien ici en pensées, ces baies de l'acanthe

    Comme une fine ligne au loin, toujours aussi vertes

    (Alain)

     

    Le temps s'efface, le soleil semble flâner

    Prêt à courtiser ces filles au teint hâlé.

    Les traces de pas s' évaporent sous le sable

    Caresse divine sur ce chemin délectable.

    ( jeanmsc )

     

    Bien que le vent froid continue de souffler

    En ce mois de Février tantôt pluvieux, tantôt ensoleillé

    Capricieux tel l'amour d'un St Valentin

    Quand l'amour nous fait marcher, main dans la main

    (Andy)

     

    Saint Valentin au coeur vagabond,

    Rencontre sur un banc les amoureux de peney.

    Quel touchant tableau, fébrile il fait des bonds,

    Souhaitant donner tel Cupidon, l'amour dans le vert pré.

     (Morganne)

     

    J'ai dix ans, c'est fait depuis février,

    Adolescente, hum hum dit maman !!

    Mais j'ai déjà un coeur d'artichaud mais gentiment je sais aimer,

    Mon Valentin, s'appelle Corentin, il a des beaux yeux bleus, hum, oui vrai pourtant.

     (Clara)

     

     Le soleil fait preuve de générosité

    Derrière les grandes bais vitrées.

    Il nous réchauffe doucement,

    En préambule pour le printemps

    (mona)

     

     Nous irons dans ses jours généreux

    Fouler la verte dans les prés voisines

    Et de  quelques voeux silencieux assistés,

    Du soleil mendier les rayons sur nos têtes dénudées

    (bonasse)