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N° 166 : Je suis étrange...
(Image du net)
Coucou tout le monde !
Cette semaine je vous propose d'écrire sur cette citation :
"Tu m'as trouvé comme un caillou que l'on ramasse sur la plage
Comme un bizarre objet perdu dont nul ne peut dire l'usage."
Louis Aragon.
On est tous un spécimen un peu étrange ! :)
Bonne semaine !
#Lulu
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Par psyche-d-ames le 1 Mars 2014 à 10:13
Partie d'un tout
Sortie de nulle part,
Les gens sont fous
Et je m'égare.
Je ris quand c'est sérieux
J'aime les malheureux.
Pourquoi faut-il s'en faire?
Quand c'est l'enfer sur Terre?
Je fais de grands gestes
Je lache du lest
Quand tout est pesant
Je fais rire les passants.
Ne suis-je pas un être-ange?
Serais-je une avalanche
De vouloir mener ma vie
Contre les à priori?
Jolana
3 commentaires -
Par psyche-d-ames le 25 Février 2014 à 09:24
Dans les montagnes sacrées
Où sonnaient les cloches dorées
Il y avait toi, innocente ...
Le long du petit sentier qui me menait vers toi
Poussaient des rosiers écarlates en floraison
Et des amarillys sauvages, rouges et rosés
Te souviens-tu de ce que je t'avais dit
A travers ces vers que je t'avais écrit ?
Je te disais que les couleurs de ces fleurs
Etaient comme tes joues empourprées
A l'époque où seule tu te languissais de moi
A côtés des ces floraisons de pétales
Mais maintenant, seul je me languis de toi
A côtés de ces mêmes roses fleuries
Pendant que je m'assois avec tristesse
Voyant que je suis incapable de te voir
Bien que je pense sans cesse à toi
Le soleil se couche et le vent se lève
Et seules les pétales écarlates dansant au gré du vent
Sont les seules chose que l'on me permet de voir
Andy
Le tableau est de Van Gogh
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Par psyche-d-ames le 25 Février 2014 à 09:05
cliquez pour voir la photo que j'ai prise en grand
Je suis ici dans mon pays, revenue vers ma vraie vie,
Mais mon âme est restée dans mon Oasis paradis...
Tout passe, tout casse, tout lasse,
Mais non, ce n'est pas le dicton, je voulais rester, sous ce soleil chaud hélas !
Etrangeté de la situation,
Je suis partie, avec mille recommandations,
Fait attention, ce n'est pas prudent,
Partir seule dans un pays en révolution, mais c'était avant...
Ici le jasmin est fleuri et la révolution sur Tunis est un peu restée,
On a abattu un homme bon, et la vie pour deux jours s'est arrêtée.
Mais dans le sud tunisien, rien ne peut dire ce qu'il s'est passé,
Aucune casse, qu'un seul magasin incendié.
Mais combien le sont en France ?
Là un seul pour tout le sud, et le pillage existe avec aisance.
Contrepartie, un ciel bleu, une mer miroir de teintes exquises,
Un cormoran posé négligemment sur un bateau bleu et blanc, ce n'est pas la banquise.
Eole était un peu frivole, soulevait les paréos,
Il nous a secoués, mais n'a pas réussi à décrocher le soleil.
La grande marée, non je ne me suis pas trompée, eh oh ...
A balayé les intrus, les oiseaux se sont époumonés, les fleurs une merveille..
Morganne
(je ne vais pas continuer plus loin, ce n'est pas vraiment un poème et je vous fais envie ce n'est pas mon but... ) vais essayer de vous mettre une photo...
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Par psyche-d-ames le 25 Février 2014 à 09:03
Il paraît en dehors du temps
Le bleu profond de ses grands yeux
Font de lui un personnage fabuleux
Loin de la lumière il trace son chemin
Portant avec grandeur sa maladie , ses chagrins
Invalidante et poignante
Ne contrôlant pas ses émotions
Il est imprégné par la musique et les sons
Chaque note le transporte le rend boulimique
Son cerveau enregistre ce qu’il ne voit pas
Et en créer une chanson de mots poétiques
Ce génie musical , enfant au don surnaturel
Époustouflant de qualités sensorielles
Rend humble tant par sa capacité que par sa cécité.
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Par psyche-d-ames le 25 Février 2014 à 08:59
Nous sommes un peu perdus sur ce sol qui n’est pas nôtre,
Dans ce paysages si agreste ; le Dieu qui en touchant la rosée
Fait don des pluies semble s’être éteint, nous cheminons tant et plus,
Mais quel plaisir pourrions-nous trouvons si l’air humé est toujours funeste.
Avec mes compagnons, nous avons aussi parcouru les rivages,
Devinez le sens qu’il y a aux marées, lu notre destin au cœur des coquelicots ;
Nous aurions pu divaguer bien d’avantage si nous n’avions pas vu ce fou si sage,
Au détour d’une énième digression, le vent généreux emportant nos ombrages.
Il marchait là si seul qu’il semblait être l’incarnation d’un doux message ;
Nous étions à l’écoute mais lui n’était pas là pour parler.
Il semblait juste vivre, aller de l’avant sans jamais douter.
Et c’est bien son ombre que nous avons suivie
Et en son ombre que nous nous sommes retrouvés
Le cœur un peu plus léger dans cet antre innomé.
Alain, 13 février 2013
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