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N° 157 : Le destin
Bonsoir à tous !
Comme je l'ai promis à Morganne, j'ouvre le challenge de cette semaine, qui portera sur le destin.
Bonne semaine et à vos plumes !
Mimi (Alexia4ever)
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Par psyche-d-ames le 22 Février 2014 à 09:09
Comprime-moi le cour comme l’on parchemine son destin,
Dites-moi, toi la belle et sylvestre contrée dite de Brocéliande,
Vous n’avez pas capitulé sous le joug de vos mystères,
Ni sous la houle, ni sous la haine, traînée trop humaine.
Au mieux vous connaissiez les fièvres de ceux qui énoncent
Sans ride, emplie du dévouement au Verbe, vous disiez si bien,
Vous bûtes aux yeux de rien, aux fleuves du tout,
Nous nous y trempâmes mais un peu mais en déveine
En vos flots, pour regagner une improbable jeunesse.
Alors donc qui décidera de vos émanations,
Qui décidera quel couplet, quelle chanson.
Quel épître inscrire pour le chant de vos âmes,
Quelle louange pour mieux souligner vos lignes,
Les chutes qui font chavirer les esprits,
Les matins blêmes à peindre à pleines mains…
Alain, 3 décembre 2012
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Par psyche-d-ames le 22 Février 2014 à 09:03
Destinée, à l'aube de notre vie tu es toute tracée,
A l'encre sympathique, indélébile dans le ciel bleu nacré.
A travers les nuages gris ou blanc pur, on devrait lire,
Les joies, les peines, les chagrins, l'amour mais ce serait délire.
Va droit sur ton chemin, avec celui que tu aimes et vie à satiété,
C'est le plus sûr moyen de voguer dans le terrestre en toute sécurité.
Comme plane, l'aigle pour repérer sa nourriture, yeux transperçant,
Faisons de notre monde un petit nid douillet, le bonheur est alléchant.
Prédiction de la fin du monde, c'est aussi écrit pas besoin de baliser,
Nostradamus et ses prédictions, nous l'a plusieurs fois annoncée.
Mais le tout puissant veille sur des peuples obnubilés par pouvoir et argent,
Il ne peut tout faire, contre le péril des inondations, des laves de volcans.
Une fois le retour en terre l'âme s'élèvera, et là tout deviendra clair,
Poussière restera en poussière, les purs, ne seront jamais des entités en l'air.
Ne pas forcer le destin en brisant sa vie de façon irréversible, car là,
Tu erreras à des années lumière, mal aimé, et là le geste fait, tu regretteras...
Ne jamais forcer le destin,
Toujours suivre le meilleur chemin,
Donner de l'amour de l'amitié, aux uns,
Pardonner aux autres la vengeance, geste d'humain.
Morganne
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Par psyche-d-ames le 22 Février 2014 à 09:01
Tu es mon roi, mon bien-aimé,
Mon chéri, mon amour, ma destinée.
Je t'aime bien que je ne te le dise jamais,
Tu sais que je n'aime pas me dévoiler.
Le destin nous a réunis,
J'espère que ce sera pour la vie.
En tout cas je t'aime et ce à la folie,
C'est pour toi et pour elle que je vis.
J'aime quand tu me regardes longuement,
J'aime que tu me regardes, tout simplement.
Le temps passe si vite à tes côtés,
Déjà deux ans et demi que tu es ma moitié.
Je veux faire ma vie avec toi
Car tu es et tu resteras mon roi.
Tu es le père de ma fille chérie
Et ce n'est pas rien, je te le garantis.
Je tiens à toi plus que tu ne le crois,
Je t'aime même si je ne te le montre pas.
Je remercie fortement le destin
De t'avoir mis sur mon chemin.
Tu es mon trésor, ma vie, mon adoré,
Mon cœur, mon bijou, ma destinée.
Tu es ma merveille, mon futur,
Grâce à toi j'ai retrouvé mon écriture.
By Kurtana45
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Par psyche-d-ames le 22 Février 2014 à 09:00
Quand tu frappes à tort ou à raison, tu fais de nos vies
Un souci ou une embellie, tu diriges nos destinées,
Généreux, tu apportes l’espoir d’une existence rêvée,
Désastreux, tu persécutes sans limites, modifiant tous projets,
Nos faits et gestes périclitent, plus rien n’est concret,
Régis par ta volonté, nous sommes vulnérables,
Ta fatalité nous choisit, pour le meilleur, ou l’irréparable,
Tu es dominateur, l’élection est périlleuse pour notre devenir,
Ton acharnement est déroutant, semant ça et là…
Les conséquences de ta persécution avec ses aléas,
L‘avenir, tu le tiens à pleines mains, il t’appartient,
Destin cruel ou passionnel, nous y sommes soumis!
Même si parfois nous provoquons le destin.
02/12/2012
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Par psyche-d-ames le 22 Février 2014 à 08:57
Restons dans l’ourlet des vagues,
Laissons ainsi places aux plus justes des possibles,
L’onde, on le sait facilite les transports de l’âme.
Remuant du bout de saintes lèvres
Le liseré des horreurs que l’on boude,
Après, vague après vague, tourment après tourment,
Le destin se distille comme de méchante eau de vie.
Alors, j’ose vous le prédire, le même destin
Me semble osciller sur son axe, joyeux un jour,
Aux tréfonds de lui-même, vénérable toujours.
Alain, 1er décembre 2012
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