• N° 152 : "Oh toi ! mon frère"

     

    Nouveau challenge pour cette semaine :

     

    "Oh toi ! mon frère".

     

    Hé oui ! Toi, mon frère espéré, réel, détesté, souhaité, haï. Mon frère de coeur, de chair ou de pensée, d'avis comme d'idées; je t'espère comme frère ou je te supporte comme frère... imposé.

     

    Il y a de quoi f[r]aire, dans cette fratrie réelle ou spirituelle.

     

    A vos plumes donc.

     

    Illustration tirée du net !

     

     

    Alain/Spock27

     

    N° 152 : "Oh toi ! mon frère"

  • Il est mon double, il est mon moi.

    Si proche et si différent à la fois.

    Il est ma force et mon soutien.

    Cet être, au monde, il n’y en a qu’un…

    Et c’est le mien

     

    Ce lien si fort qui  nous unit

    Qui fait qu’on s’aime pour la vie

    Il est ma chair, il est mon sang.

    Il est mes tripes, mon Inconscient,

    Mon compagnon pour mille rêves,

    Mon lieu fermé ; Il est… mon frère.

     


    6 commentaires
  •  

    Tu es celui qui arme les esprits,

    Celui que l’on voudrait côtoyer,

    Frère en esprit, compagnon d’une âme,

    Je t’aime comme on aime la mère.

     

    Tu as un peu ses traits et ses emprunts

    Avec son visage aimant qui disait nos bonsoirs.

    Te rappelles-tu encore et toujours

    Où l’oubli nous a menés

    Dans les travées des malmenés.

     

    Je t’enjolive malgré l’opprobre,

    Nous étions en elle de la fratrie du silence;

    Tes mains jointes dirigées vers le grand haut,

    Tu étais l’aîné mais déjà le regard vers l’ailleurs.

     

    Quand l’appel retentit,  tu fus le seul à l’entendre,

    Plongé peut-être dans une immense écoute.

    Nous étions dans les sables et toi à la mer.

    C’est elle qui t’a pris et d’un au revoir,

    Tu nous as laissés pour d’autres vents,

    Trop belle était sa proue !

     

    Alain, 21 octobre 2012

     

    Si belle était la proue... par Spock27


    votre commentaire
  •  

    Do ré mi fa sol la si do,

    toi le musicien as tu quelqu'un pour moi..

    un deux trois quatre,

    Trois petits tours et puis s'en vont et je suis seule.

     

    A la claire fontaine m'en allant promener,

    J'ai vu l'eau si claire qu'une pièce  j'y ai jetée.

    Il y a longtemps que je l'aime, un jour elle va arriver,

    Voeu non exaucé, peut être dans un puits cela aurait marché.

     

    Fontaine de Trèvise, temple des milles bouddhas,

    Je ne devais pas jeter la bonne pièce car elle ou il 'est pas là.

    Qu'aurions nous fait ensemble que je n'ai pas fait avec toi,

    Mon adorable voisine, amie pour la vie, on va échanger notre sang toi et moi.

     

    Le mêler, par deux petites incisions de nos deux doigts,

     pic pic, un coup d'aiguille et voila il faut être adroit.

    Maintenant met ton doigt sur le mien, tu as Bien réfléchi,

    Cela nous lie vraiment, toi tu es comme moi, une fille seule mais on est amie.

     

    Le temps a passé, de frère de soeur toutes deux ont a été privé,

    Mais l'amitié, amour fraternel qui nous unie, n'aurait pas mieux été.

    Avec cette fratrie que nous n'aurons jamais.

    Avec du recul tout le monde nous prend pour deux soeurs, et on s'aimait.

     

    Jamais une dispute, jamais une querelle, toutes les séparations nous attristaient,

    Mais une amitié comme deux soeurs n'existerait pas plus fort si deux on était.

    Ma Soeur Amie, tu ne m'as jamais déçue,

    Je pense qu'il en ai de même de toi à moi, pas d'idées préconçues.

     

    Morganne

     

    Décidemment mes poèmes sont réels et retrace ma vie..

    On s'aime, nos maris se sont super entendu, dommage que la vie t'ai emporté Dany,

    Mais jamais je ne laisserai quelqu'un te faire de mal,

    Le sang échangé à l'enfance, nous a unies dans un tourbillon de bal.


    votre commentaire
  •  

    Toujours dans mes rêves les plus fous,

    Mon envie de frère ou de sœur, me chavirait le cœur.

    Fille unique personne ne saura ressentir ce manque de tout,

    De ce double, cette présence, je m'enivrais à imaginer  ce bonheur.

     

    Toi n’as pas, moi j’ai, la flatterie qui agrémente ma vie

    Tu m’envies, tu aurais aimé avoir ce frère, cette sœur

    Sais tu si tu aurais à m’envier, m’aurais tu poursuivie

    Pour savoir ce que nous sommes, lui et moi de la vie, acteurs

     

    Une épaule pour pleurer, un être pour se confier,

    Des coups de gueule à ne pas douter, des bagarres orchestrées,

    Mais à ces instants,  que la réconciliation aurait été belle !

    Veux tu être  le frère que je n'ai jamais eu, ne soit pas  cruel ?

     

    Sœur je n’ai eu et pourtant au fond de moi

    Si j’avais eu à choisir, c’est ainsi que sans effroi

    Je peux dire que j’aurais préféré au frère

    Sans pour cela renier au grand jamais, celui qui m’est cher.

     

    4 Mains Jean-frédéric et Morganne


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique