• N° 151 : Cet objet qui nous remplit de bonheur.

     

    Bonjour !! :)

     

    « Cet objet qui vous tient à cœur, même banal, qui vous fais sourire, vous remplit de bonheur. »

     

    Voilà le thème que je propose cette semaine, à vous de jouer !

     

    Bon week-end à tout le monde !!

     

    #Lulu

  • Ficelle bleue. par Luludu68

     

    Tu vois il y a ce bracelet, attaché à ma cheville

    Fait de ficelles en bleu et blanc.

    On pourrait dire que toutes les filles,

    En possède, un différent.

     

    Seulement le miens est un cadeau,

    J’ai le plaisir de le garder,

    Jusqu’à ce qu’il se perde dans l’eau,

    Que ses cordes soient brûlées.

     

    Imaginons que je ne l’ai pas,

    C’est idiot mais important,

    Car sans je ne suis plus moi,

    Le bout de toi serait manquant.

     

    Un bijou, une ficelle, un souvenir,

    Banal à vos yeux.

    Il m’offre un large sourire,

    Le plus beau, le tien, le mieux.

     

    #Lulu.


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  •  

    Une feuille de papier est un objet de surface plane, généralement blanche et de généralement vingt-et-un centimètres de largeur sur vingt-neuf centimètres et sept millimètres de longueur, plus ou moins épaisse selon sa qualité. Une feuille de papier n'a certes pas de grande valeur en elle-même, mais ne niez pas, ne me dites pas qu'un petit bout de papier n'a jamais été le plus précieux des trésors à vos yeux ; imaginez vous un petit bout de papier déchiré, il provient de cette douce personne qui vous fixait dans les yeux et ne pouvait s'empêcher de caresser tendrement votre main la tête penchée sur votre épaule, son souffle caressant votre joue, lorsqu'elle vous parlait de ses secrets perdus, de ses rêves oubliés, ses flèches d'espoir en lambeaux de rêves brisés, brillantes sous les étoiles de ses yeux éteintes par la souffrance, ces étoiles plus brillantes que jamais lorsque c'était à vous qu'elle s'adressait. Ce petit bout de papier ne serait-il pas alors un de vos plus grand trésors ?

     

    Une feuille de papier ; une terre vierge où nous pouvons cultiver librement les fleurs de rêve et de désillusion, d'espoir et de désespoir, ces fleurs des prés dans nos coeurs, un exutoire, l'ami à qui vous pourrez toujours tout raconter, la vie, la haine, la joie, la souffrance, ce que vous en savez, ce qu'il faut croire ; un paradis blanc où déverser la noirceur de nos souffrances autant que toutes les couleurs de nos joies dans nos coeurs ; un ciel radieux sans l'amour de Dieu, sans la souffrance et la haine du monde et l'indifférence de nos semblables, un ciel radieux où nos pensées s'envolent comme des éclairs, au fil de nos plumes et nos esprits, un des rares endroits où nous sommes encore libres de nous exprimer sans crainte de jugement ; une feuille de papier, un objet sans valeur, sans importance pour beaucoup de personnes, mais une feuille de papier enveloppée, adressée à votre nom, parfumée, vous reconnaissez ce parfum n'est-ce pas ? son parfum est le votre, son parfum est le votre ; ce genre de lettre pourrait sauver la vie de quelques coeurs écorchés vifs, ce petit quelque chose de presque insignifiant mais qui est le plus beau des trésors pour certains.

     

    Mais si vous demandez la valeur d'une feuille de papier à quelqu'un un jour, cette personne vous dira qu'elle n'en a aucune.

     

     

    Mon texte pour le challenge de Lulu, qui est aussi mon texte pour mon devoir de français, où on devait décrire un objet à la manière de Francis Ponge comme dans son texte  "Le Paine" ; voilà c'est magnifique il sert à plusieurs choses :')

     

    Bref xD

     

    La feuille de papier, par jugband-blues ; écrit le 14.10.2012 (désolé c'est pourri sûrement la manière dont j'écris mais je suis sur mon portable et ça bugue et je vois même pas ce que j'écris... :s

     

    Bref, salut ; je corrigerais tout cela quand j'aurais accès sur mon ordi ^^

     

    Denis je me suis permis de corriger les fautes de frappe, comme cela ton texte est clair et tu n'aura pas à le retoucher   signé Morganne


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  •  

    Laisse donc là les effluves du temps

    Faire leur chemin sous la chandelle,

    Sous la chape d’un silence bienveillant.

    Ouvre la fenêtre, car de tête je suis déjà parti.

     

    L’été se fait soubrette ou bien, serait-ce sobriété

    Que de se penser un peu plus loin ; juste un verre,

    Oui, j’en ai besoin, objet de mes fortunes,

    Tu ne m’as jamais abandonné, miné oui, certes,

    Mais attristé, cela jamais. Je m’immole à présent,

    L’incandescence de ces rares moments

    Ne se retrouvera jamais dans nos tableaux.

     

    On a beau  se rire de tout,

    C’est dans son ambre

    Que j’oubliais tout,

    Même la douce Morphée.

     

    Alain, 13 octobre 2012


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  •  

    Le bonheur se tient au creux des mains

    C’est ce qui se dit entre deux psaumes

    Dans les antres mouillés d’oubli

    Où la vie se lèche le peu d’ombre,

    Le peu d’envie qui en elle semble paraître.

     

    Car de toi-même, précieux personnage,

    As-tu joui charnellement sans que pensée te nuise ;

    As-tu espéré sans espoir, vu sans vouloir.

    L’objet de tes désirs était-il sculpté de l’Homme

    Ou par l’implacable volonté d’une flore lissée de bonheur.

     

    Bien sûr que je pleure à chaque fois

    Que toi et en toi, je commémore.

    Tu es la pluie et tu es le vent, tu es au plus juste

    La peau de l’enfant, le sourire à peine esquissé.

    Tu es et à peine, oserai-je te nommer.

    Car entre le bruit et le silence, 

    Il y a parfois l'espace d'un frôlement.

     

    Alain, 13 octobre 2012

     

    Un bonheur au creux de la paume par Spock27


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  •  

    Dimanche ensoleillé, envie de rigoler,

    Dans les travées fleurant bon le nougat et la pomme de sucre rouge,

    Deux filles, Amies pour la vie avancent les oreilles remplies de musique bigarrées.

    Se baladent à la fête foraine, tournez manèges, où tout bouge.

     

    Attirée par un stand dont la voix stridente du camelot les fait rire,

    Elles s'approchent, sourire aux lèvres devant l'étal de doudous et de poupées.

    Leurs yeux voient en même temps Une peluche qui les attire,

    Ce jour là Beethoven est entré dans leurs coeurs en toute amitié.

     

    Beethoven le gros chien du film les regarde et leur tend les bras,

    Le vendeur de billet attiré par deux jeunes filles vient tout de suite les aider,

     Mettant des billets roulés par plusieurs puis par deux en se disant cette fois on l'aura.

    Bien sûr l'une prend le faux mais l'autre plus rapide donne la somme et vite prend l'autre..

    GAGNE

    Les deux filles sont revenues de la fête avec ce gros chien chacune en lui donnant la main.

    Arrivée à la maison Beethoven a pris une place importante, dès le lendemain.

    Chaque fois qu'on regardait ses gros yeux, il  nous enjôlait et nous donnait de l'entrain.

     Miss Clara est arrivée et Beethoven est devenu son fauteuil, la miss à ce moment était un petit nain..

     

    Puis le temps a tourné et on se rappelait en le regardant notre divin dimanche,

    La vie a coulé doucement, mon enfant grandissant.

    La mort a emporté Coralie au Paradis, avec les anges

     Une larme coulait mais maintenant on lui protège jusqu'à notre rencontre dans je l'espère longtemps..

     

    Un seul être vous manque est tout est dépeuplé,

    Mais Beethoven sera toujours chouchouté.

     

    Morganne


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