• N° 147 : Jim Morrison (la musique)

    N° 147 : Jim Morrison (la musique)

     

    J'ouvre le challenge ce soir de peur de ne pas avoir le temps

    demain, je vous propose donc une citation de Jim Morrison

     

     « Nous nous cachons dans la musique afin de nous dévoiler. » de Jim Morrison.

     

    J'espère que la rentrée a été bonne ou le retour au travail,

    c'est reparti alors à vos plumes,

    J'espère que le sujet vous plaira

    Merci

    Mona

  • Turn on the music par Alexia4ever

     

    Pendant que le cœur écrit les paroles,

    Il y a l’âme qui compose la mélodie ;

    Fusionnant le classique au rock’n’roll,

    L’œuvre alterne symphonie et rapsodie

     

    Créant une ouverture sur le monde,

    De pays en pays, l’esprit vagabonde ;

    Il n’y a qu’un pas du paradis à l’enfer,

    Les violons pleurent ceux qui ont souffert

     

    Harmonieuse et indispensable, la musique

    Se transmet de génération en génération ;

    Ses effets secondaires sont anesthésiques,

    Elle est une drogue à consommer sans modération

     

    Puisqu’émouvoir s’avère être son devoir,

    Elle me fait pleurer puis me redonne espoir ;

    Esquissant de si jolis arcs-en-ciel,

    Elle me fait rêver à en atteindre le ciel

     

    Et, en vue de mieux cerner ma bien-aimée,

    D’une oreille curieuse, je découvre ce qu’elle écoute ;

    Aurais-je un jour l’opportunité de confirmer

    Ce que je suppose et ce dont je doute ?

     

     (Octobre 2012)


    votre commentaire
  •  

    Le son des violons versant des larmes,

    Regardant le passé avec froideur,

    Oubliant l’infime partie de ton charme,

    Je recolle les morceaux de mon cœur.

     

    Onde électrique qui ressort ma colère,

    Tu pourrais vivre ou mourir,

    J'en aurais rien à faire…

    Tu peux partir.

     

    Ne me regarde plus dans les yeux,

    C’est fini, oublie ce qui n’était déjà rien.

    Cache-toi, fais de ton mieux,

    Mais ne croise plus mon chemin..

     

    Alors peut-être qu’un simple « adieu »,

    Effacerais le passé, rayerais ton nom,

    Ce serait un de mes plus beaux vœux,

    Oublier tes mensonges et ta fiction.

     

    #Lulu.


    votre commentaire
  •  

    Challenge de Minimoy

     

     

    Apologize

     

    It's too late to apologize, it's too late

    I said it's too late to apologize, it's too late

     

    Tu écrivais sans cesse dans ton carnet

    Des mots effaçables comme écris à la craie.

    Tu disais que c'était ta bulle, ton repaire,

    Là, tu te sentais à l'abri de tes pairs.

     

    Tes paroles ne reflétaient pas tes pensées

    Tes actes étaient l'opposé de ta volonté.

    Tu vivais avec un masque, pour te cacher,

    Imaginant que personne ne l'aurait remarqué.

     

    It's too late to apologize, it's too late

    I said it's too late to apologize, it's too late

     

    Seulement, après avoir entendu ta voix

    Dans les chansons que tu fredonnais tout bas.

    J'y ai vu transparaître ton mal être :

    Tu jouais un personnage aimant le paraître.

     

    J'ai voulu t'aider, mais ce fût à mes dépens,

    Car il était trop tard pour changer ton présent.

    Ton futur t'attendait, il était déjà tout tracé,

    Et le mien t'as suivi sans cri : j'ai chuté.

     

    It's too late to apologize, it's too late

    I said it's too late to apologize, it's too late

     

    -Minimoy-

    (16/09/12)


    votre commentaire
  •  

    Passe le temps, passe les heures,

    Viens me rejoindre dans ma bulle de musique,

    Cet air plane comme les herbes brûlées en ma demeure,

    Nous étions jeunes, nous étions fous on voyait le feu dans l'antarctique.

     

    Osmose de nos corps qui se déhanchaient avec le rythme des notes,

    Esprit vagabond plus rien n'existait que les douces mélodies qui flottent.

    Jeune et con, non ! vivre dans le temps présent avec notre humeur vagabonde,

    Le feu, la musique nous hypnotisait, le coeur en attente des chansons suivait leur onde.

     

    Là,  suis ma musique, viens tu verras où je t'emmènerai,

    Dans des îles fantastiques bien au nord, le mouvement nous gagnait.

    Peuple de jeunes gens en liberté, libéré,

    Sans soucis voletant dans les affres du ciel au son d'une musique en envolée.

     

    Douceur des réveils dans des endroits inconnus,

    Dans des concerts où nous amusions vaporeux, aérien,

    Musique des Doors, la tête tournée vers l'amour sans avoir bu.

    Bon temps quand nous rejoindras tu dans les limbes du ciel loin des terriens.

     

    Morganne

     

    Un tout petit peu peur d'être hors sujet mais j'ai ramé pour te faire ce poème Mona, il ne serait pas dit que tu mettes un challenge et que je ne le fasse pas... bisous


    votre commentaire
  • quatre mains de jfred et Morganne

     

    Quelques murmures légers et persistants

    D’où viennent t-ils, qui sont t-ils ?

    Unis entre eux, ils en deviennent enivrants

    Plutôt que mots, ils sont, notes volatile.

     

    Musique relaxante endormissant nos corps,

    Des voix faibles, viendraient-elle du ciel ?

    Un bruissement nous enveloppe, peu fort,

    Un peu étourdie je me love dans tes bras qui se font miel.

     

    Ces quelques notes d’une musique divine

    Sait nous bercer de ses langueurs

    Fermons nos yeux  et laissons sur nous cette bruine

    Sommes nous ici ou ailleurs ?

     

    En apesanteur loin de la vie actuelle, dans un univers charnel,

    Un apparition étrange, cheveux longs, robe blanche.

    Les notes l'entourent, elle s'avance dans une brume irréelle,

    Sous le charme céleste,  nous restons enlacés heureux hanche contre hanche.

     

    4 Mains Jean-frédéric et Morganne


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique