• Avec un peu de retard 4 mains avec fred par JFred et Morganne

     

    Dans la quiétude du parc  et le zéphyr sous l'ombrage léger,

    Chevaleresque tu t'avances vers moi, cliquetis de mon coeur.

    Douceur d'un cocon de ver à soie dans sa cachette tissée.

    Tes bras m'enserrent, te revoir au bout d'un long mois, quel bonheur.

     

    Ce doux message apporte cet amour secret

    Nulle question de blasphème en ce lieu délicieux

    Juste la musique d’un amour qui n’est plus inquiet

    Le bras chevaleresque qui prétend te porter aux cieux

     

    Ton départ que j'avais appris par missive sur un parchemin,

    D'une écriture en pleins et en déliés m'avait beaucoup attristée,

    Avec la peur de ne pas te revoir en vie, tant de choses sur le chemin,

    Ton fidèle destrier t'a conduit sain et sauf, scellons ce retour par un baiser.

     

    Nos mains liées à jamais vers un désir commun

    Celui de nous livrer à cet étrange et calme sentiment

    Partir loin de l’être aimé ne sert à rien

    Si ce n’est pour le retrouver encore plus fort en l’aimant.

     

    Tu me dis que tu vas demander ma main à mes parents,

    C'est une douce note qui résonne dans mon coeur,

    Mais d'entrer dans cette belle église gothique et  pour femme tu me prends,

    Je rougis, d'avance, sans bruit scellons cet accord de ce grand bonheur.

     

    4 Mains de Jfred et de morganne


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  •  

    Sous le pommier dansent de gentilles ombres ;

    Une ballerine se joue avec délice, tel un parfum volatile,

    De nos attentes, comme une fleur

    Une blanche étamine au coeur.

     

    L’on ne voit que tutu

    Et fine dentelle, et ma foi, un peu fébrile,

    La grâce de l’herbe nouvelle,

    Foulée par nos pieds

    Dans cette vallée à la verte écume.

     

     

    Alain, 9 septembre 2012

    Réponse partielle aux dix mots de Clara :-)

     

    Réponse à Clara par Spock27


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  •  

    Quelques notes éparses autour d’un café au goût d’une sombre quiétude,

    Je suspens ainsi ton départ dans le bruit des regrets, dans cette gare du hasard.

    La douceur de l’écriture agit si peu comme  baume sur une plaie qui se plairait à saigner.

     

    Certes, en cet endroit où jouir se vit comme un blasphème, il faut se faire violence,

    Faire passer ses envies comme un message de vie, comme un fleuve détourné de vertus.

     

    Au calme de nos olympes, se rappeler qu’au départ il y avait les prémisses de l’amour

    Que le moindre filet de ta voix qui viendrait de cette contrée, si belle et si chérie,

    Me permet de m’en remémorer, oh douceur incarnée, à moi la douleur, à toi l’évasion.

     

    Alain, 9 septembre 2012

     

    ‘pas su caser « Gothique » :-/

     

    Notes éparses par Spock27


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  • Surnaturel. par Luludu68

    (image du net)

     

     

    Notes de musique résonnants dans ma tête,

    Quiétude dans mon âme jamais ne s’arrête.

    Le doux son de la guitare électrique,

    A chaque instant mon cœur qui en crépite

     

    Sur le triste parchemin de la nuit,

    Fais passer le message de tout mon ennui,

    Ecriture gothique de ma plume noire,

    Je fais traverser l’onde du désespoir.

     

    Je transcris le bruit formé dans mes pensées,

    Ce que vous dites sans parler.

    Vos songes sont le départ de mes folies,

    Tourbillon sombre et infini.

     

    Le calme revient alors quelques instants,

    Son mélancolique dans mes tympans.

    Douceur rare qui m’est accordée,

    Malgré le blasphème d’exister.

     

    #Lulu


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  • Challenge de Minimoy

    Coucou, voici mon petit poème pour le Challenge de Morganne, t'inquiètes pas la Miss Clara, je ferais le tien un peu plus tard, c'est promis. Bisous à tout le monde

     

    A mes trois disparu(e)s

     

    Vous êtes partis sans un bruit,

    Tous trois, avez rejoins l'ombre qui luit.

    Sans laisser derrière vous de note,

    Vous avez empruntés la grande porte.

     

    Le chagrin est dur à surmonter

    Dans cette église gothique illuminée,

    Les regards ont beaux être compatissants,

    Revoir vos écritures serait pour moi : un présent.

     

    Votre départ fût douloureux,

    La maladie ayant rendu vos corps fiévreux.

    Désormais vous êtes en paix,

    Calme et harmonie soignent vos plaies.

     

    Maintenant que Dieu vous a accueillis dans son paradis,

    La quiétude a envahi vos âmes, elle vous a guéri.

    Parcourant le Ciel et les nuages,

    Vous pourrez m'envoyer un signe, un message.

     

    Nul blasphème est permis entre nous,

    N'ayez crainte, je penserais toujours à vous.

    Une douceur emplira mon cœur et mon esprit,

    Chaque fois qu'une bougie éclairera la nuit.

     

    -Minimoy-

    (7/09/12)

     

    En mémoire de Sœur Adèle Céline, Max et ma Grand-mère : Reposez en paix

     

    "Vivre dans le cœur de ceux qu'on laisse : c'est être éternel" de Anonyme


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