• N° 146 : 10 mots pour un poème (thème libre)

    N° 146 : 10 mots pour un poème (thème libre)

     

     

    Ouverture du challenge excusez mon retard mais depuis le début Août avec aujourd'hui j'ai passé 4 jours chez moi et je vais à Paris cette semaine, et je suis rentrée hier de savoie à 23 h

    ALors je vous mets ce que j'ai pensé,

    ce qui marche souvent c'est les 10 Mots pour un poème

     

    VOILA les 10 MOTS allez à vous

    NOTE - ECRITURE - CALME - MESSAGE - DOUCEUR - BLASPHEME - QUIETUDE -  DEPART- GOTHIQUE - BRUIT

     

    Clara me voyant overbookée ainsi a voulu m'aider je vous mettrai ces l0 mots après et son poème si vous pouvez vous en servir faite le, mais je ne sais pas ce que vous arriverez à en tirer mais c'est très gentil ma puce... bisous

  • Weight of words par Alexia4ever

     

    Jeune femme plongée dans une profonde solitude

    Brûle quelques chandelles dans le calme de la nuit ;

    Elle semble faire preuve d’une étonnante quiétude,

    Mais son regard la trahit, quelque chose la détruit

     

    Assise devant quelques feuilles de papier à lettre,

    Elle ôte la plume de son encrier, prend sa respiration

    Et note tout ce que sa voix ne peut se permettre,

    Un long message que son cœur rédige à ton attention

     

    Munie de sa plus belle écriture, elle calligraphie

    Des lettres qui éclosent en de si belles phrases ;

    Correctement et en douceur, les mots s’orthographient

    Pendant que, sur le buvard, quelques perles s’écrasent

     

    Sous les yeux du passé, elle implore un nouveau départ

    Et, ne s’imaginant pas sans toi, son cœur te prend à part

    Dans l’espoir qu’un jour, elle puisse ouïr le doux bruit

    De ta présence que depuis bien des d’années, elle poursuit

     

    Peut-être est-elle trop jeune, peut-être est-elle gothique,

    Mais son attitude n’en demeure pas moins romantique ;

    Son fervent discours n’est en rien un blasphème,

    Car pour toi seule sont les pétales de son cœur qu’elle sème.

     

     (Octobre 2012)


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  •  

    Le Chant de la Ballerine par Bonasse

     

     

    Le Chant de la Ballerine

     

    Hola hola toi qui va là

    Là le bonheur la peine là.

    Toi la qui vas au loin la bas

    Ci est ta place non là bas.

     

    Au doux vent du midi, la nature sourit

    Son corps tout beau fleuri est par ce vent nourrit.

    La bise de la nuit, le gaiement jour a fuit

    D’une note six-huit par ce zéphyr conduit.

     

    Sur la verte étendue, la ligne connue

    A l’herbe insinue la coiffe peu chenue

    D’une ballerine, la figure citrine :

    L’an, le temps burine ma face figurine.

     

    Je chantonne avec lui les hymnes d’aujourd’hui ;

    J’ai des oiseaux l’appui qui tonnent des cui-cui

    Percher sur le cimier d’un coquet pommier

    Sous le regard châtier de ce temps coutumier.

     

    Hola hola toi qui va là

    Là le bonheur, la peine là.

    Toi la qui vas au loin la bas

    Ci est ta place non là bas.

     

    Comme ils semblent bien beaux, voyez ! Ces jours nouveaux

    Où le cri des oiseaux, séduient par des appeaux

    Dans cette aire fraiche recouverte d’un chèche

    Quand la saison sèche, quand le temps s’ébrèche.

     

     Ma note deux-huit se brouille. Alors je gazouille

    Ce frêle air bredouille que ma pensée bidouille ;

    De mon tutu vêtue sous cette aire dévêtue

    La musique soigne et fluctue ma forme têtue.

     

    Sur le fin scénario de cet oratorio

    Je joue comme un morio chaque acte avec brio

    Sur le grand raisin couché, en noir imprimé

    Cet être affamé qui mendie son mangé.

     

     

    Chante chante chante nature

    Chante Chante chante et capture

    Chante chante chante le temps

    Chante chante chante au printemps.

     

    bonasse

    sep-oct 2012

     

    j'ai promi à Clara que je lui ferai un poème pour son challenge aux dix mots; cela n'a pas été facile mais je  l'ai fais. J'espère que tu ne te facheras pas soeurette parce que j'ai fai un deux en un. Mâ'a pourras t'aidez à comprendre si non tu me demande. Pardon de le livrer tard.


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  • je reprends si vous le permettez mes écrits :ayant eu quelqu'ennuis ces dernières semaines (je n'ais pas pu écrire) ,aussi je me permets de reprendre le train en marche:à partir des 10 mots sur texte libre "challenge de Morganne"; je vais essayer de suivre avec les 2 autres challenges. merci de votre indulgence car la forme n'est pas encore au rv!  mais je vais surmonter celà, il le faut !!

     

     

    Déesse nocturne par Mamin

     

     

    Astre lunaire  sortant de ton écrin  nocturne

    Tu  prends le relais  belle -de -nuit, après le départ du jour

    En message passé à ta complice saturne

    Dans cette vaporeuse étoilée s’installe quiétude et amour

    Le jeu en vaut la chandelle sans détour

    On t’invoque, dans ce calme sans équivoque

    Gardienne de nos rêves, parfois loufoques

    Je te regarde avancer  dans le ciel sans bruit

    Dans la douceur de ton visage épanoui

    Tes pâles rayons tombent sur nos maisons

    Telle  une écriture codée sans mystification,

    Arrivée d’une galaxie lointaine

    Pas de faute note sur cette partition ionienne

    Ni blasphème dans cette candeur éternelle

    Prier peut-être dans une  église gothique

    Pour que la lune reste croyance mythique!

     

    21:09 /2012


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  • Bérénice

     

    Dis à la lune, à la nuit écarlate, comme

    Moi, son manteau de velours voile le fin fruit

    Que tes rêves endormis drapent le sourd bruit :

    Tu es éclat du soir qui terne mon blasphème.

     

    Veux-tu que de son calme insouciant, l’humeur

    Encore naissante du départ du jour tarde

    De sa note aise, et ton fin dard de mon cœur ôte ?

    Moi quiet, je mourrai sans doute sans douleur.

     

    Comme amant, je poserai à l’heure d’hommage

    Au palier de chez toi ce modeste message

    Tout beau, en une réplique d’espoir nourri,

     

    Premier de ma plume éthylique, mon cœur meurtri.

    Jour, meurt. Tu comprendras de mon cœur le cri,

    Bérénice si tu juges des mots en marge.

     

    bonasse

    09 septembre 2012


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  •  

    Challenge de Minimoy (Réponse à Clara)

     

     

    Fête sous pommier ...

     

    Par un beau matin de printemps,

    Je me suis reposée sous ce pommier charmant.

    A mon aise, je jouais avec les herbes folles

    Qui dansaient au rythme des souffles d’Éole.

     

    Parmi les fleurs m'entourant de leurs parfums

    J'ai découvert un rosier rouge carmin,

    Qui poussait accoudé aux branches d'un cépage,

    Aux raisins violets se montrant sages.

     

    Puis une petite fille a traversé les allées sucrées,

    En ballerine, elle s'amusait à faire des pointes, sans difficulté.

    Je l'ai suivi avec plaisir ; me demandant où elle me conduisait :

    Une table dressée pour manger un goûter savoureux nous attendait.

     

    Au sec, et à l'abri d'une éventuelle averse,

    Nous avons fait la fête, au son des pianos qui bercent.

    La demoiselle virevoltait dans son tutu couleur lilas,

    Entraînant ses ami(e)s dans une farandole pleine de lalala  

     

    La musique hypnotisait tous les invités,

    Lorsqu'une brise fraîche m'a réveillé.

    J'étais au calme dans cette pommeraie bien verte

    Et Morphée, de son voile tout doux m'avait couverte.

     

    -Minimoy-

    (12/09/12)

     

    P.S : Bon, j'en suis pas super satisfaite, et certaines rimes sont trop forcées, à mon goût, mais bon, j'espère que cela vous plaira ; ainsi qu'à la Miss Clara. Bisous bisous

     


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