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N° 141 : Le paradis
« Les prières ne servent pas à grand chose, sauf à se rassurer soi-même. Le paradis est un territoire personnel, pas ce truc vendu par les religions, quelles qu'elles soient. La seule façon de s'en sortir, ou du moins d'avancer dignement dans ce monde-là, c'est de se fabriquer son propre paradis. Si on ne vit pas pour être heureux, je dirais qu'on ne vit pas pour être malheureux non plus. » - Nicola Sirkis.
Et oui, c'est sur le Paradis que va porter ce nouveau challenge. Vous pouvez vous inspirer de cette citation de Nicola Sirkis (le leader d'Indochine, pour ceux qui ne connaissent pas), ou bien tout simplement décrire votre propre Paradis, qu'il soit intérieur ou bien le fruit de vos croyances, comme vous le sentez, votre définition, votre image du Paradis...
Voilà, je vous souhaite une BONNE INSPIRATION à tous !!!
Challenge n°141 : Le Paradis ; by jugband-blues.
(P.S. : est-ce que quelqu'un pourrait s'il vous plaît créer une catégorie "Challenge n°141 : Le Paradis", et par la même occasion m'expliquer comment le faire, car je n'y arrive pas, merci beaucoup d'avance ! )
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Par psyche-d-ames le 17 Février 2014 à 15:53
(image du net)
Tout le monde considère le paradis,
Comme le passage après la vie.
Un pays blanc sous le signe du bonheur,
Où un ange blanc attend votre heure.
Et si tout cela était faux ?
Si les hommes ailés n’avaient jamais existés ?
Oui de rêver c’est beau,
Mais tout a été inventé.
La mort est sûrement la case finale,
La fin, le saint graal.
Peut-être errons-nous en fantômes,
Ou dispersés en tant qu’atomes.
Quoi qu’il en soit personne ne sait,
Et l’au-delà reste silence.
Qu’il y est ou non un après,
Nous avons tous nos espérances.
#Lulu
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Par psyche-d-ames le 17 Février 2014 à 15:50
Sous le soleil, il n'y a rien à cacher
Sous la lune où se cache l'inconnu
Les voix s'amenuisent en murmures
Les couleurs s'atténuent en nuance de gris
Il pleut sur les routes de la ville de Paris
J'ai peut être gaspillé toutes ces années
Elles ne valent pas leur temps en larmes
J'ai peut être passé trop de temps dans les ténèbres
Dans la chaleur de mes peurs
Puisque je marche à travers les mythes
Se lever puis couler comme les vagues
Avec mes pensées entourées autour de moi
A travers cet essai de larmes
Caché par un déguisement
Trébuchant dans ce monde cruel
Pas mieux que l'homme que tu déteste
Et il pleut sur la route du Paradis
Andy
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Par psyche-d-ames le 17 Février 2014 à 15:44
Il pleut, étincelles élégantes, sur les belles têtes nues.
Tandis que les danseurs se cherchent dans les brumes,
Des mélodies filent sous leurs pas malhabiles.
Au bord des plages à peine esquissées, des rêves s’y enlisent.
La nacre des coquillages en habillent certains,
L’ocre souverain revêt la tempête qui nous enveloppe.
Au creux de ces joyeuses luttes,
Des mains happent la graine du hasard,
Chassant ce qui obscurcit nos veilles
Et éveillent nos peurs, proposent à nos esprits
Un bleu du ciel qui sur toute chose légèrement se dépose.
Ainsi se révèle le soleil, comme la toute première rose
En ses pétales toutes de douceurs,
Suave comme l’humaine caresse,
Tout au bout de ce jour à la finalité incertaine.
Alain, 14/15 juillet 2012
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Par psyche-d-ames le 17 Février 2014 à 15:41
Ainsi, tel on vit l’ange
A travers le verre mordoré
Revêtu de la robe qui épouse
Nos tempêtes intérieures.
Ce chérubin que l’on retrouve
Ceint d’une auréole sertie de grâce
Propose sa coupe et sa geste
Aux confins de notre orbe.
Dans le délié de ses mots
Soulignés d’une subtile adoration,
Nous retrouvons le simple souffle,
La fraîcheur de l’enfance retrouvée.
Alain, 15 juillet 2012
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Par psyche-d-ames le 17 Février 2014 à 15:37
Allez tend ta main,
Conduit moi vers demain,
Ta main cherche la mienne mon amour,
Pour atteindre un autre jour.
Nos doigts se cherchent, et ne s'atteignent,
Pourtant qu'il serait bon d'y aller tous les deux avant que la lumière s'éteigne.
Cette porte nous attire,
Prend vite ma main, c'est mon désir.
Ce stupide accident nous a expédiés vers l'au-delà,
Dans un bruit de tôle froissée, plus de coeur qui bât.
Léger comme des plumes nous nous sommes élevés,
En dessous de nous, nos familles désespérées.
Pour le moment, ne pensons pas à cela, nous avons plané,
Nous nous sommes retrouvés, allez encore un effort, mais nous sommes damnés.
Viens tend les doigts, tu vois cette porte, c'est la porte du tunnel de l'au-delà.
Main dans la main, allons vers cette lumière derrière la porte, le tunnel commence là.
Et au bout du tunnel il y a quoi ?
La lumière éblouissante nous aspire déjà.
Ne pas avoir peur, laissons nous aller,
Où que nous allions nous serons tous les deux c'était notre destinée.
Entends tu la harpe céleste, je pense que c'est cela le Paradis,
Nous verrons bien, nous sommes deux, et tu me souris.
Une lumière douce, dans les nuages blancs, douceur duvet
Des anges en robe longue ? si c'est cela à deux ce sera parfait .
Morganne
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