• N° 141 : Le paradis

     

    N° 141 : Le paradis

     

     

    « Les prières ne servent pas à grand chose, sauf à se rassurer soi-même. Le paradis est un territoire personnel, pas ce truc vendu par les religions, quelles qu'elles soient. La seule façon de s'en sortir, ou du moins d'avancer dignement dans ce monde-là, c'est de se fabriquer son propre paradis. Si on ne vit pas pour être heureux, je dirais qu'on ne vit pas pour être malheureux non plus. » - Nicola Sirkis.

     

    Et oui, c'est sur le Paradis que va porter ce nouveau challenge. Vous pouvez vous inspirer de cette citation de Nicola Sirkis (le leader d'Indochine, pour ceux qui ne connaissent pas), ou bien tout simplement décrire votre propre Paradis, qu'il soit intérieur ou bien le fruit de vos croyances, comme vous le sentez, votre définition, votre image du Paradis...

     

    Voilà, je vous souhaite une BONNE INSPIRATION à tous !!!

     

    Challenge n°141 : Le Paradis ; by jugband-blues.

     

    (P.S. : est-ce que quelqu'un pourrait s'il vous plaît créer une catégorie "Challenge n°141 : Le Paradis", et par la même occasion m'expliquer comment le faire, car je n'y arrive pas, merci beaucoup d'avance !   )

  • Le paradis ? par Luludu68

     

    (image du net)

     

     

    Tout le monde considère le paradis,

    Comme le passage après la vie.

    Un pays blanc sous le signe du bonheur,

    Où un ange blanc attend votre heure.

     

    Et si tout cela était faux ?

    Si les hommes ailés n’avaient jamais existés ?

    Oui de rêver c’est beau,

    Mais tout a été inventé.

     

    La mort est sûrement la case finale,

    La fin, le saint graal.

    Peut-être errons-nous en fantômes,

    Ou dispersés en tant qu’atomes.

     

    Quoi qu’il en soit personne ne sait,

    Et l’au-delà reste silence.

    Qu’il y est ou non un après,

    Nous avons tous nos espérances.

     

    #Lulu


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  • It's raining in the heaven par Andy

     

    Sous le soleil, il n'y a rien à cacher

    Sous la lune où se cache l'inconnu

    Les voix s'amenuisent en murmures

    Les couleurs s'atténuent en nuance de gris

    Il pleut sur les routes de la ville de Paris

     

    J'ai peut être gaspillé toutes ces années

    Elles ne valent pas leur temps en larmes

    J'ai peut être passé trop de temps dans les ténèbres

    Dans la chaleur de mes peurs

     

    Puisque je marche à travers les mythes

    Se lever puis couler comme les vagues

    Avec mes pensées entourées autour de moi

    A travers cet essai de larmes

     

    Caché par un déguisement

    Trébuchant dans ce monde cruel

    Pas mieux que l'homme que tu déteste

      Et il pleut sur la route du Paradis

     

    Andy


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  •  

    Il pleut, étincelles élégantes, sur les belles têtes nues.

    Tandis que les danseurs se cherchent dans les brumes,

    Des mélodies filent sous leurs pas malhabiles.

    Au bord des plages à peine esquissées, des rêves s’y enlisent.

    La nacre des coquillages en habillent certains,

    L’ocre souverain revêt la tempête qui nous enveloppe.

     

    Au creux de ces joyeuses luttes,

    Des mains happent la graine du hasard,

    Chassant ce qui obscurcit nos veilles

    Et éveillent nos peurs, proposent à nos esprits

    Un bleu du ciel qui sur toute chose légèrement se dépose.

     

    Ainsi se révèle le soleil, comme la toute première rose

    En ses pétales toutes de douceurs, 

    Suave comme l’humaine caresse,

    Tout au bout de ce jour à la finalité incertaine.

     

    Alain, 14/15 juillet 2012


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  •  

    Ainsi, tel on vit l’ange

    A travers le verre mordoré

    Revêtu de la robe qui épouse

    Nos tempêtes intérieures.

     

    Ce chérubin que l’on retrouve

    Ceint d’une auréole sertie de grâce

    Propose sa coupe et sa geste

    Aux confins de notre orbe.

     

    Dans le délié de ses mots

    Soulignés d’une subtile adoration,

    Nous retrouvons le simple souffle,

    La fraîcheur de l’enfance retrouvée.

     

    Alain, 15 juillet 2012

     

    Le chérubin et la grâce par Spock27


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  •  

    Allez tend ta main,

    Conduit moi vers demain,

    Ta main cherche la mienne mon amour,

    Pour atteindre un autre jour.

     

    Nos doigts se cherchent, et ne s'atteignent,

    Pourtant qu'il serait bon d'y aller tous les deux avant que la lumière s'éteigne.

    Cette porte nous attire,

    Prend vite ma main, c'est mon désir.

     

    Ce stupide accident nous a expédiés vers l'au-delà,

    Dans un bruit de tôle froissée, plus de coeur qui bât.

    Léger comme des plumes nous nous sommes élevés,

    En dessous de nous, nos familles désespérées.

     

    Pour le moment, ne pensons pas à cela, nous avons plané,

    Nous nous sommes retrouvés, allez encore un effort, mais nous sommes damnés.

    Viens tend les doigts, tu vois cette porte, c'est la porte du tunnel de l'au-delà.

    Main dans la main, allons vers cette lumière derrière la porte, le tunnel commence là.

     

    Et au bout du tunnel il y a quoi ?

    La lumière éblouissante nous aspire déjà.

    Ne pas avoir peur, laissons nous aller,

    Où que nous allions nous serons tous les deux c'était notre destinée.

     

    Entends tu la harpe céleste, je pense que c'est cela le Paradis,

    Nous verrons bien, nous sommes deux, et tu me souris.

    Une lumière douce, dans les nuages blancs, douceur duvet

    Des anges en robe longue ? si c'est cela à deux ce sera parfait .

     

    Morganne

     

    destinée par Morganne


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