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Par psyche-d-ames le 16 Février 2014 à 10:13
La première fois que je t’ai vu,
Tu n’avais aucune importance,
Comme un passant dans la rue,
Une amitié en toute errance…
Je ne te connaissais pas encore,
Alors je te trouvais bizarre…
Mais que ton cœur vaut de l’or,
Je ne l’ai vu que bien plus tard…
La première fois que je t’ai parlé,
On a commencé par se disputé.
Je savais à peine ton nom,
Mais déjà nous nous bataillions…
Et puis au fil des jours qui passaient,
C’est comme si nos rires s’enlaçaient,
Entremêlés dans nos querelles,
Rendaient nos vies un peu plus belles…
La première fois que j’ai pleuré pour toi,
Et bien t‘as pleuré avec moi…
Tu m’as montré la vérité en face,
Les « autres » et leurs paroles qui fracassent…
On s’est plus trop parlé après,
On a essayé de tirer un trait,
Le combat de ne plus communiquer, mais en vain,
On a toujours reprit le même chemin…
Et puis la première fois que tu m’as prise dans tes bras,
Ah je l’ai retenu ce moment-là !
C’est quand on a tout avoué,
Comme deux gamins aux joues rosées.
Maintenant tu vois tu me manques beaucoup,
C’est quand la première fois que je te reverrais ?
Je veux encore un bisou sur ma joue,
Encore un sourire qui m’illuminerait…
#Lulu
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Par psyche-d-ames le 16 Février 2014 à 10:10
Effluve de genêts dans ce champ
Cigales et hirondelles chantent de concert.
Il fait chaud, les brins de lavande dansent sous le vent
Je profite de cette mélodie, de ce ballet dans l'air.
Le thym embaume mon esprit
Et je vois ce cœur gravé sur cet arbre avec envie.
Amour d'été, amour éphémère
Et pourtant gardé par cette légion de fourmis
Soldats, gardiens de cette terre.
Troublé, je revois ton image
Floutée par la chaleur comme un mirage.
Je peux presque te toucher
Ce rêve devient réalité.
Un papillon vient se poser sur ma main
Avec la douceur et la délicatesse d'un baiser.
Si beau, si fragile comme une goutte de rosée du matin.
Une araignée s'affaire à réparer sa toile
Comme un vieux pêcheur son filet
Avant de hisser sa voile.
Le soleil va bientôt tirer sa révérence
Lumière orangée dans cette moiteur d'été
Fait ressortir des souvenirs de mon enfance.
Un bureau, un encrier une plume sergent major.
Un cartable au cuir vieilli
Un malabar qui vaut de l'or.
Une vieille grand-mère au visage bruni.
Un amour de jeunesse
Un amour tendresse
Une larme, un baiser une caresse
Le premier je t'aime un jour de pluie
Le premier amour d'une vie...
jeanmsc.
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Par psyche-d-ames le 16 Février 2014 à 10:08
Premiers rayons de ton sourire
Sur les bancs de l’école maternelle ;
Quelques années que l’on avait à parcourir
Sous le signe de l’amitié, notre ritournelle
Premiers secrets qu’il ne fallait pas répéter
Au risque que l’une perdre la confiance de l’autre ;
Pour un texte ou une opération à compléter,
Nous devions mettre de côté la complicité qui était nôtre
Dans le ciel apparurent les premiers nuages
Qui, menaçants, annonçaient une dispute ;
Passant par là, une camarade fit éclater l’orage
Pour nous désunir et ainsi atteindre son but
Première séparation physique à onze ans,
Nous ne fréquentions pas le même collège ;
Un manque devenait de plus en plus pesant,
Il me fallait te voir pour que mon cœur s’allège
Et quinze ans après notre premier regard,
La flamme de l’amitié tient toujours tête aux tempêtes ;
Crois-moi, ce n’est que le début d’une longue histoire,
Bien que notre enfance ait pris la poudre d’escampette.
(Juillet 2012)
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Par psyche-d-ames le 16 Février 2014 à 10:07
Amoureuse romantique, heureuse je suis,
Sauter le pas, intimidée, Dieu que j'ai envie.
Rebelle pourtant tes doux baisers me laisse en sursis,
Ta bouche tendre explore la mienne, je suis en délit.
Doux moment qu'est celui du baiser,
Lorsqu'il unit les lèvres de deux protégés,
"Donne toi" à ma bouche comme je me donne à la tienne.
Nos lèvres soudées en un souffle qui balaie nos peines.
Sentir en contact la douceur de tes lèvres,
Me délasse et me donne de l' amour, la fièvre.
Subrepticement, nos corps se resserrent,
Plus rien n'existe, lumière tamisée pour repère.
Ton corps contre le mien, comme au plus près,
Je sens tes formes, ta poitrine, tes seins si bien faits.
Je sens tes hanches onduler sous mes mains.
Serre toi contre moi, ne faisons qu'un,
Coeur battant à tout rompre, à toi tendrement je suis,
Premier pas, ta douceur est infinie, tu rythmes mes envies.
Peau contre peau, je deviens femme, par toi,
Première fois, premier bonheur de mon émoi.
L'homme que je suis se révèle par ta présence,
Nos âmes à nos corps liées avec aisance,
L' amour se mêle à la vie par nous,
Mélange des sens de sentiments d'amour fou.
Quatre mains de Jean-frédéric et Morganne
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Par psyche-d-ames le 16 Février 2014 à 10:05
La première fois est toujours la plus intense
Rêve d'un voyage d'amour de deux êtres
De parcourir à deux ce monde immense
Rêve d'une vue d'un port par la fenêtre
Mais je ne savais pas qu'il fallait te mentir
Pour vivre et pour te garder près de moi
Et je ne pensais pas ce qui était à dire
T'éloignerait à ce point de moi
Et abimer ceux que l'on aime
Et passer des nuits ivre
A s'oublier soi-même
Jusqu'a ce que la rupture nous délivre
Je ne savais pas encore
Que l'on peut haïr d'aimer
Que l'on peut rire de souffrir
Et que le bonheur fait pleurer
Andy
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