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N° 140 : Première fois
J'ouvre le challenge avec un petit handicap
pas faute d'avoir cherché à remédier,
Les vidéos persos de dailymotion
Ne passent plus sur lexode donc excusez je vous mets le lien,
http://www.dailymotion.com/video/x11xh1_la-ceinture_music
Cliquez, dessus,
Vous aurez une vidéo de jfred qui écrit souvent avec moi,
c'est la chanson d'Elodie Frégé
"la ceinture"
Donc j'appellerai le challenge n° 140
"première fois"
Il y a beaucoup de première fois dans la vie,
Alors soit vous vous inspirez de la chanson
ou de vos expériences personnelles qui peuvent être très diverses
Allez à vos plumes et à vos plumeaux..
Les examens sont fini les résultats seront bons,
Donc vive la vie
et d'une pierre deux coups
Je dis joyeux anniversaire Jean-frédéric
(merci pour la vidéo)
Morganne
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Par psyche-d-ames le 17 Février 2014 à 15:27
Elue du cœur, écoute ma chanson.
Elle t’est dédiée, tu as sa primeur.
C’est de mon sang que cette prière,
Je l’ai signée, de toute mon âme,
Je l’ai baignée.
Dans l’Eau du plus profond des lacs,
Je m’y suis purifié. Rendu à toi,
Et donc rendu un peu à moi-même.
Ni égaux devant la portée du sens,
Ni égaux dans le dévoilement de la pure parole,
Nous nous sommes aimés, férocité faisant loi.
Je t’en prie, de plus, je t’en conjure.
Ne me juge point sur les actes,
Et encore moins, sur les intentions.
Toujours purs nous étions devant Lui,
Toujours perdus, après la première étreinte.
Il est des portes qu’il se faut franchir,
Des promesses dont il faut s’affranchir.
De l’amour, celui du ru qui fait la rivière,
Nous pouvons parler, malgré les rires,
Malgré les larmes, perles d’effusion.
Alain, 6 juillet, 2012
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Par psyche-d-ames le 17 Février 2014 à 15:25
S’aimer pour chaque jour mal appréhendé,
Prêtant la main à l’âme ainsi voleuse, âme aussitôt envolée ;
De même, s’enfoncer dans ce voyage si confondant,
Qui se vit au creux d’une main choisie dans une forêt de sens
Où les sentiments et l’intensité n’ont pu que succomber.
Aux lèvres que l’on devine éperdues, on reporte les pièges,
Les remords qui n’ont pas cours sur ces sublimes plages :
Car du cœur, nous n’avons rien craindre et tous des promesses.
Les mots épousant la vacuité du dire, au diable la fraîcheur de la foi,
La primeur du choix de l’aimée ; que l’on y puise de quoi vivre,
De quoi se rassasier pour mille vies, un amour au goût d’éternité.
Alain, 6 juillet 2012
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Par psyche-d-ames le 16 Février 2014 à 10:20
Coucou,
Voici un tout petit texte, mais j'arrive pas à écrire plus ; j'espère que cela vous plaira quand-même :)
Bisous, bonne semaine ; j'essayerai d'écrire autre chose ^^
Un effleurement m'a perturbé,
Des sourires dissimulés.
Tes actes me font toujours effets,
Tes baisers réalisent mes souhaits.
Dés le départ, mon corps a réagit,
Il a senti renaître la Vie !
-Minimoy-
(06/07/12)
1 commentaire -
Par psyche-d-ames le 16 Février 2014 à 10:18
En avançant vers la rue du souvenir
J’ai reconnu la porte de l’avenir.
Après une longue marche dans la nuit
Quand on a vécu des jours gris
Un matin on doit se réveiller…
Redécouvrir les aurores naissantes
Les arcs-en -ciel que le soleil enfante
Les rires innocents, la candeur d’un poème
Les matins inondés de « je t’aime ».
Le jour où le soleil perce les nuages
Avoir l’impression d’approcher du rivage,
Il fait plus clair, la tempête a cessé
Autour de nous quelques fleurs
Enfin on sent battre son cœur
Les oiseaux gazouillent de nouveau
Sous un ciel bleu et ses joyaux
La vie se donne un air d’été…
Se pourrait- il qu’on ait changé de saison?
Ou Seulement comprendre que, chaque jour est une première fois,
Et ne jamais oublier ….la vie n’a qu’un seul été !
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Par psyche-d-ames le 16 Février 2014 à 10:17
Un matin gris comme mon humeur
Un vase vide sans fleurs
Un Amour déchu plus d'envie
Je me sentais trahie !
Je marchais sans savoir où aller
Je n'étais que l'ombre de moi même
A repenser à tous ces "je t'aime" gâchés
Je perdais mes forces, mon visage était blême.
La pluie vint s'ajouter à mon désespoir
Tachant mon tailleur gris puis ce fut le trou noir...
Je me suis retrouvée dans cette pièce, la cheminée crépitait
J'étais à moitié nue allongée sur ce lit.
Sur une chaise, mes vêtements séchaient
Je me laissais bercer encore un peu étourdie.
Une fille entra: ne craint rien me dit-elle, ici tu es en sécurité.
Grande brune de grands yeux, au teint métissé
Ses longues jambes étaient habillées par une jupe ultra courte.
Mes cheveux étaient trempés et elle s'affaira à me les sécher.
Elle était d'une douceur extrême, nous étions entre deux adultes,
Mais elle s'occupait de moi comme d'un vrai petit bébé.
Elle essaya de me recoiffer avec ses doigts en vain.
Cela nous fit beaucoup rire, puis elle caressa ma joue.
Tu es belle me dit-elle d'un air taquin
Puis elle posa ses lèvres sur les miennes.
Surprise, je le fus mais je me découvrais moi même.
Je me sentais désirée, elle me mordillait le cou.
Elle jouait avec mon corps, tout n'était que douceur et sensibilité.
De cette partition j'en étais l'instrument.
Elle prit son temps pour trouver le chemin de mon intimité
J'étais déjà très excitée, mais ce n'était que le commencement...
Les muscles de mes cuisses tremblaient et une douce chaleur envahissait mon ventre.
Je me faisais soumise alors qu'elle batifolait avec mon antre.
Elle pianotait sur la gamme de mes plaisirs
Je découvrais, à mon tour ses désirs.
De cette composition il s'ensuit une belle symphonie
Qui décupla encore plus nos envies.
L'aube pointait, dans la chambre un rideau laissait entrer un petit vent marin
Son goût dans ma bouche, je m'étais endormie entre ses seins.
Je n'attendais qu'une chose, recommencer...
jeanmsc.
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