• N° 135 : Les yeux sont le miroir de l'âme

    N° 135 : Les yeux sont le miroir de l'âme

     

    (image du net)

     

    Coucou tout le monde ! :)

     

    Alors voilà, un regard peut-être très révélateur...

    Rieur, triste ou encore menteur, c’est à toi de déceler chaque émotion, c’est si facile de lire dans les yeux. Ils reflètent ce qui est enfui tout au fond de toi, alors sache que tu ne pourras jamais mentir avec un regard, il te trahira toujours.

    « Les yeux sont le miroir de l’âme »

     

    J’espère que ce thème vous inspirera !

    Bisous et bon dimanche !

     

    #Lulu

  • Poème de Minimoy

    Coucou, voici juste un poème, comme je vous l'avais promis, j'ai pas le temps de vous commenter ou d'écrire pour le challenge en cours, mais le texte qui suit peut aller dans un des précédents challenges. Ala semaine prochaine

    Bisous bsisous

     

    Admirateur ???

     

    Je sentais un regard posé sur moi,

    Mais je n'imaginais pas que s'était toi.

    J'ai levé les yeux, et les tiens m'ont fuis,

    Ton attention s'est reportée sur ton ami.

     

    Pourquoi m'observer comme ça, à la dérobée ?

    Quelles intentions cachaient tes pensées ?

    Un charme émanait de ton sourire, de tes fossettes,

    Mais moi, je ne suis plus « une jeunette ».

     

    Notre différence d'âge a calmé mes pressentiments,

    Vis-à-vis du pourquoi de ton comportement.

    J'avais néanmoins été troublé ce jour là,

    N'imaginant pas un jeune garçon s'intéresser à moi.

     

    Tu semblais pourtant gêné en ma seule présence,

    Signe plus ou moins révélateur de ton attirance.

    Les vraies raisons de ton attitude resteront secrètes,

    Car jamais tu ne me les confieras, et je le regrette.

     

    Minimoy

    (15/06/12)


    votre commentaire
  •  

    Au-delà des étoiles(*), j’aborde les regards

    L'âme sans délices mais aussi sans ruses,

    Tant l’esprit et les sens semblent en perdition.

     

    Je m’abandonne dans les ruelles des cœurs,

    Je pose mes regards sur ces mêmes gens qui chancellent ;

    Je n’ose crier, bien que les amours doivent mener leurs cours.

     

    C’est bien dans ces villes que se trouvent nos âmes sœurs,

    Que d’autres perdus se rencontrent se dévoile à moi encor’.

    L’idée qu’une élue soit à portée d’un beau sentiment,

    J’y crois comme le Doge à Venise luttant contre les flots.

     

    Alain, 5 juin 2012- Ill. tirée du net

    (*) Clin d'oeil à Andy

    Comme le Doge à Venise par Spock27


    votre commentaire
  • Ce qui se lit au fond d'un regard par Andy

     

    Sous une pluie sans fin j'ai marché

    Comme un poète ressentant la douleur

    Essayant de trouver la réponse

    Essayant de cacher ces larmes

     

    Mon coeur est déchiré par cette réponse

    Que j'ai finalement comprise

    Mais alors pourquoi ...

    Suis-je encore en train de poser la question ?

     

    Ai-je tort d'être blessé ?

    Ai-je tort de ressentir la douleur ?

    Ai-je tort de ne pas retenir mes pleurs ?

    Ai-je tort de souhaiter que la nuit ne se finisse jamais ?

     

    J'observe les étoiles jusqu'à ce qu'elles s'en aillent

    A l'arrivée de l'aube claire-obscure qui définit une faille

    Fissure qui sépare la clarté du jour de la sombre nuit

    Avec les premières lueurs du soleil vient la fin de la rêverie

     

    Tel un acteur solitaire, perdu et abandonné sur la scène

    Qui joue dans une pièce sans jamais connaître la fin de l'histoire

    L'immensité du ciel obscure exprimant sa profonde peine

    Se reflète au fond de ses yeux brillants de larme du désespoir

     

    Je vois rouge, je vois bleu

    Mais l'argentique de l'aube les recouvre peu à peu

    Je me réveille, je contemple la fin de cette nuit étoilée

    Avec le temps, nos souvenirs disparaissent ...

     

    Andy


    votre commentaire
  • Expressions par Mamin

     

    Dans ces yeux où la prunelle phare de garde

    Protège  le visage de l’indiscrétion

    Que voyez-vous d’autre que de la stupéfaction?

    Déclenchant une gerbe d’étincelles dans la limpidité du ciel.

    Couleur cendre, parfois perdus dans les méandres du rêve

      passent chargés de pluie, les nuages.

    En Tempête de larmes transforme le visage.

    Regard envoûtant à la profondeur des mers,

    Rempli de déserts  et de mirages,

    Dont on ne peut se détacher, comme hypnotiser

    De  ces flots mouvants qui ondulent en beauté

    Par de longs  cils dans un battement de paupières.

    Quand l’expression se lit…joie, émotion, colère.

    Rieurs ou colériques, sortent de leur cavité.

    Les yeux, richesse et guide de la vie.

    Deux pierres précieuses extériorisant nos sentiments

     

    Mamin

    retour pas très inspiré


    votre commentaire
  • sur un air de flamenco number two - morganne

     

    Sous les lumières luxuriantes, ce soir la nuit sera satin,

    Tu n'as d'yeux que pour le bel hidalgo qui claque des pieds et se déhanche,

    Son regard de braise a transpercé le tien,

    Tu es sa proie consentante, tu es en pamoison, n'aies crainte, allez flanche.

     

    Beau comme un dieu, cheveux bruns luisants, nuque bouclée,

    Tu aimerais y passer tes doigts fins dans les frisottis, cela te démange.

    Vas, tu trouveras ta place dans le creux de cette épaule, proposée,

    Comblée sous l'éclair de ces iris noirs, l'amour le pimente.

     

    Ne soit pas rebelle, il a l'air doux comme un agneau,

    Avec force et câlins il t'apprendra la vraie vie tendrement,

    Au rythme de sa guitare à la lueur de la flambée du brasier.

    Mélange de l'océan bleu vert des tiens et des siens en jais irisé, aucun tourment..

     

    Grattez guitare,

    Virevoltez jupe longue, sur mollets irradiés.

    L'amour nait autour d'un feu, tes yeux sont hagards,

    Aime le, claque des mains en cadence sur  tempo endiablé.

     

    Morganne


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique