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Par psyche-d-ames le 24 Janvier 2014 à 08:20
Coup de foudre, coup de théâtre,
Un éclair d’amour illumine ton visage ;
Sous la lumière du jour, tu sors de ton cloître
Consciente de la belle histoire qui s’envisage
Les œillades se multiplient et s’accumulent,
Au quotidien vos regards se croisent ;
Malgré les sentiments que ton cœur dissimule,
Certains se lisent dans tes yeux bleus turquoise
De tes doigts si fins, tu aimerais effleurer sa joue
Alors prend tes cartes, lance les dés et joue ;
Ta déclaration tient sur maints poèmes
Dont les vers n’ont rien d’un blasphème
Prends ton courage à deux mains
Et, sans hésiter, romps ce lourd silence
Car t’escortant sur un autre chemin,
Ton cœur fait pencher la balance
N’importe où, n’importe quand,
Il te fait voir la vie en couleurs ;
Rencontre suivie d’un rendez-vous marquant,
Cette histoire sera ta vie, ton bonheur.
(Novembre 2011)
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Par psyche-d-ames le 24 Janvier 2014 à 08:16
Point de croix
Sans rien faire dans la dentelle,
Mon regard a donc dérapé
Sur vos envoûtements charnels,
Et mes yeux, pardi, ont brodés...
Ce fut l'insensé coup de foudre
Pour une fermeture Eclair...!
Il n'est point moment d'en découdre,
Ne voyez-vous mon coeur aux fers?
Peut-il être pire à mon songe
Qu'épingler ici mon bonheur,
Dans ce grand tissu de mensonges,
Où s'effilochent vos douceurs...?
N'en faites pas tout un poème,
Votre âme pâme et se la joue
En devinant que je vous aime
Dans cet ouvrage que j'avoue.
Ainsi, sous toutes ses coutures,
Le silence a trahi l'émoi.
J'aurais certes dû, oui, pour sûr,
Filer avant qu'elle me voie!
Sous couleur de le censurer,
Vers un chemin, sans point de croix,
Où je me croyais aiguillée,
Je fus reprise, malgré moi.
L.
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Par psyche-d-ames le 24 Janvier 2014 à 08:08
Je me souviens d'un passé lointain
Où mon esprit encore vierge et fragile
Regardais la couleur cramoisie du lever de soleil
Et la vie était remplie de merveilles
Je sentais le souffle chaud des vents d'été
Tandis que mes pas d'enfant me guidaient
Au delà des frontières que traçait l'horizon
Transcendant la blancheur de la neige d'hiver
Qui précédait les foudres des orages d'automne
Quand l'innocence caressait encore mes joues
Rouges de bonheur, de cette liberté de la jeunesse
Il y avait tellement de vie en moi
Et je me languissais des chemins à prendre
Mais maintenant ces jours sont partis
Changés telle des feuilles tombées d'un arbre
Dont le Zéphyr souffle avec indifférence
Encore mes yeux d'adulte regardent
Avec fascination les éclairs qui zébraient le ciel
Et mes oreilles attendent avec impatience
Dans le silence assourdissant de la nuit
Le coup de tonnerre qui viendra après le flash
Un ciel pourpre m'a donné un instant de bonheur
Et m'a poussé à écrire ce poème
Andy
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