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Par psyche-d-ames le 21 Janvier 2014 à 15:13
photo perso de morganne (le chalet avec vue sur le Mont blanc, clara du haut de son perchoir
Nous voici arrivés, plus haut que les nuages,
Altitude 1060 mètres, c'est beau les alpages.
Reprendre possession de notre chambre,
Elles sont en sous pente dans ce chalet où fleur bon le bois et l'ambre.
Coucou titou, coucou Minou,
On est arrivé chez vous,
On est ¨passé par la maison des oies,
C'est méchant ces bestioles elles nous pincent avec leur bec, c'est sournois.
Le ciel est bleu, le Mont blanc n'a pas de chapeau,
Constatation de vieux savoyard demain le temps sera beau.
La cheminée à flammèches orangée où crépite le bois.
C'est un peu un retour à la maison, il fait bon se retrouver dans cette Savoie.
Vite je dis bonjour, mets mes bottes de montagne et je pars,
Ici j'ai le droit c'est un petit village tout mignon, ils sont pas méchants les vieux gars.
Même quatre sont pas bien futés mais c'est mes copains.
Avec eux, des grands à moustaches, je monte voir leurs moutons dans l'alpage.
Clara ne t'aventures pas trop loin, tout le monde te connais je le sais bien,
Mais on est toujours inquiet quand on voit partir son chérubin.
Surtout quand celui ci n'a pas sa langue dans sa poche,
Et qu'elle se fait en cinq minutes "amis pour la vie".
Je suis un peu déçue mon ami Côme ne sera pas ici,
Léo et Léna ne seront pas là pour Halloween j'avais pourtant apporté des friandises,
Une tenue de sorcière, gentille, et une lanterne, une qui fait de la lumière je l'ai vu.
Et tous ensemble on aurait dit, un bonbon ou un sort, trop bien trop top, mais je suis déçue.
4 Mains Clara et Morganne
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Par psyche-d-ames le 21 Janvier 2014 à 15:09
Nouvelle Vie
Combien de fois, te voyant désespérée, l'an passé,
Je t'ai dis pour te faire avancer, te convaincre,
Crois-moi, dans peu de temps, t’attend une vie rêvée.
Une douce embellie, la lumière approche n'ait crainte.
En hiver comme en été,
Tant de fois tu me l'as répété ;
Mais jamais je n'aurais cru
Surpasser l'Enfer parcouru.
Jeune fille au grand coeur,
Une grande sœur il te fallait pour réconfort,
Dotée d’une grande imagination te soutenir un bonheur,
L'éden était à ta portée, à deux nous serions les plus forts.
Femme au coeur d'or,
Tu as su m'éloigner du bord
En m'écoutant, en me conseillant
Pour que j'évite le malveillant
En premier avoir le Sésame, tu l’as obtenu
Pour ouvrir les portes de la capitale à Paris, bienvenue.
Ensuite, tout coulerait, non sans efforts, vers ton paradis
Une école, un lieu de vie, et une rencontre cruciale, ta grande envie.
Souffrance du passé, souffrance massacrée,
J'ai compris combien la vie pouvait être sacrée ;
A présent, une brise de chaleur m'entraîne,
Raison et coeur s'unissent et se comprennent.
Alexia et Morganne
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