• Alors que tu n'avais que tienne croyance par Spock27

     

    Oh doux liquide, toi qui de peu m’a fait grand,

    Je t’envie, comme je te réprouve.

    Comment dire quand la raison s’abandonne

    Car tel est ton vœux, Absinthe, tu m’a fais tant écrire,

    En lettres de joie, en lettres de feu.

     

    Je n’ose croire en ces fabuleux paysages

    que nous avons traversés

    tous deux.

     

    Je croyais en toi alors que tu croyais en toi.

    En filigrane, et toujours en pleutre poussière,

    La foi vacillante que tu me laisse comme seul joyaux.

    La poésie était belle pourtant, voyelles de cœurs,

    Consonnes pour les délicates énonciations,

    Tu m’as fais jeune homme, armé d’une seule plume.

    Ai-je en simple acquiescement accusé tous ces rêves

    Et par toi, aux autres si évasifs, tout révélé ?

     

    Alain, 19 novembre 2011


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